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BlogPost Les normes de genre et stéréotypes de sexe interfèrent avec la transmission des savoirs biologiques sur la reproduction, la sexuation et la sexualité. Des présentations biaisées, lacunaires, inexactes ou franchement erronées contribuent ainsi à naturaliser indument des normes et rôles sociaux de sexe, laissent non questionnées voire valident certaines idées reçues ou théories infondées alimentant le sexisme, et opèrent implicitement des inégalités de traitement injustifiées entre élèves. Attirons l’attention des enseignant∙e·s sur ces biais et développons des supports pédagogiques qui les évitent. L’analyse des manuels scolaires, ainsi que des outils élaborés ou recommandés par l’Education nationale, montre que la présentation des aspects biologiques du sexe au sens large (reproduction, sexuation, sexualité) opère fréquemment des biais sexistes : bi-catégorisations de sexe abusives, informations erronées ou douteuses correspondant à des stéréotypes de sexe, omissions laissant le champ libre au sexisme, ou encore asymétries de présentation non justifiées par des faits biologiques. Je présente ici des suggestions pour contrer les principaux biais de ce type, qui devraient être traqués et soigneusement évités. Mise en œuvre de manière ciblée dans la série de huit vidéos pédagogiques que j’ai élaborée pour matilda, cette démarche irrigue aussi en partie le projet SSI du Bioscope de Genève et celui de svt•égalité. Elle gagnerait à être intégrée au processus d’élaboration des manuels scolaires et des ressources institutionnelles, et étendue via un questionnement systématique des contenus enseignés et approches didactiques ordinaires. Diversité de la reproduction et du sexe dans le vivant non humain Selon une « idéologie du genre » traditionnelle prégnante, l’humanité se divise en deux catégories d’individus, leur différence biologique essentielle fait qu’ils sont naturellement liés par un désir mutuel et destinés à jouer des rôles parentaux et sociaux complémentaires, le mode de reproduction (sexué) des humains est une forme d’aboutissement ultime de l’évolution, et seule l’hétérosexualité réalise la rencontre avec un vrai « autre » qui est source d’enrichissement. Cette idéologie tend à être projetée sur l’ensemble du vivant, ceci en produisant une description biaisée qui via l’extrapolation à l’être humain, alimente en retour la naturalisation de normes de genre et renforce ladite idéologie. Au lieu d’alimenter ce cercle vicieux, mettons en avant un certain nombre de faits sur le sexe dans le vivant. Concernant l’opposition et hiérarchisation des modes de reproduction asexué et sexué, tout d’abord : les deux concernent des animaux comme des végétaux, certaines espèces ont évolué en abandonnant la reproduction sexuée, et d’autres combinent les deux avec profit. La reproduction sexuée n’est ni à l’origine de la diversité biologique (ne se réduisant en outre pas à la diversité génomique), ni la seule façon pour les lignées de survivre à long terme, et il existe du brassage génétique indépendant de la reproduction. La parthénogénèse existe y compris chez des vertébrés, et peut produire des individus fertiles et/ou différents de leur génitrice. La reproduction sexuée, quant à elle, n’a pas mécaniquement les implications qu’on lui prête. Elle peut reposer sur plus de deux types de gamètes, ou sur deux non qualifiés de femelle et mâle. C’est la typologie des gamètes qui définit les sexes, celle des individus n’en étant qu’un dérivé plus ou moins défini, et leur classification en femelles/mâles ne repose pas sur l’opposition immobiles/mobiles ni rares/nombreux. L’hermaphrodisme est courant chez les végétaux (et chez certains l’autofécondation est possible), caractérise certaines espèces animales, et la reproduction entre hermaphrodites n’implique pas que l’un fait fonction de mâle et l’autre de femelle. La détermination génétique du sexe repose sur d’autres systèmes que XX/XY dans de nombreuses espèces animales, et dans certaines le sexe change au cours de la vie. Aucune différence anatomique ou comportementale entre animaux mâles et femelles n’est commune à toutes les espèces. La reproduction sexuée y compris animale se fait parfois sans rencontre physique entre géniteurs, et inversement les contacts sexuels entre animaux à reproduction sexuée peuvent être clairement détachés d’un objectif de reproduction. Dans diverses espèces, des animaux de même sexe peuvent entretenir un compagnonnage au long cours ou prendre en charge ensemble le soin de petits, indépendamment de la reproduction donc. Concernant l’humain, des stéréotypes normatifs contraignants, excluants ou délétères sont souvent renforcés par une exagération de la netteté ou de la portée du dimorphisme lié au sexe biologique. Limites du dimorphisme lié au sexe biologique chez l’être humain Cela commence avec la minoration de l’intersexuation, i.e. des cas où les trois grands niveaux de définition du sexe d’une personne (chromosomique, gonadique et génital) ne sont pas congruents ou où l’un au moins n’a aucune des deux formes typiques. Leurs fréquence et diversité doivent au contraire être signalées. Ensuite, les traits morphologiques ou physiologiques sur lesquels le sexe génétique a une influence – hormones stéroïdiennes, poils, os, voix, musculature, composition corporelle, besoins énergétiques ou encore fonctionnement de l’axe hypothalamus-hypophyse-gonades – tendent à être présentés de manière dichotomique, comme s’ils existaient sous deux formes, mâle et femelle. Il convient au contraire de ne pas cacher la variabilité de ces traits à l’intérieur de chaque groupe de sexe, leur similarité entre groupes ou le recouvrement de leurs deux distributions, l’importance de facteurs autres que le sexe dans leur détermination ni l’unité des mécanismes fondamentaux qui les régissent. Ils n’ont pas nécessairement à être présentés séparément selon le sexe plus que selon d’autres facteurs. Même l’appareil génital et la physiologie de la reproduction ne sont pas aussi différents et conformes à des représentations stéréotypées du masculin-féminin trop souvent confortées. Ainsi, le sexe féminin n’est pas le sexe « constitutif » ou « par défaut », et l’organogénèse de l’ovaire dépend elle aussi de l’activation de divers gènes. Les spermatozoïdes ne s’accumulent pas dangereusement en l’absence d’éjaculation, ils n’ont pas toujours un mouvement endogène, et dans la trompe ils « attendent » plus souvent l’arrivée d’un ovocyte que l’inverse. L’ovocyte est actif dans la fécondation, et apporte en fait un peu plus que 50% du matériel génétique de l’embryon. Androgènes, œstrogènes et progestérone sont produits par les femmes comme les hommes (avec des différences de niveau qui ne sont pas toujours dans le sens attendu). Le cycle ovarien n’est pas provoqué par une activité cyclique spontanée de l’hypothalamus, les niveaux d’hormones gonadiques suivent aussi un cycle chez les hommes, et l’horloge biologique tourne aussi pour eux au sens où quantité et qualité de leurs gamètes diminuent avec le temps. Les femmes possèdent un organe érectile, le clitoris, homologue du pénis et jouant le même rôle dans le plaisir sexuel. Femmes et hommes ont des glandes homologues impliquées dans l’éjaculation et dans la lubrification. A fortiori, rien ne justifie en l’absence de preuves de laisser entendre que le processus de sexuation biologique s’étend aux dispositions cognitives ou comportementales, qui seraient ainsi naturellement sexuées chez l’être humain. Il peut au contraire être utile de signaler l’absence de telles preuves, et ce y compris pour ce qui relève directement des comportements sexuels. A ce titre, l’usage de notions non soutenues par l’état des connaissances sur l’humain (ex : comportements sexuels « instinctifs », cerveaux « reptilien » et « mammalien », « gènes de l’homosexualité », phéromones sexuelles) devrait être banni ou seulement critique. Attention à la forme : vocabulaire précis et factuel vs vague et connoté… Indépendamment des connaissances transmises, le vocabulaire utilisé peut avoir des connotations fâcheuses. Ainsi, l’usage d’anthropomorphismes plutôt qu’un vocabulaire précis et factuel pour décrire le comportement d’animaux (voire pour attribuer une psychologie aux gamètes) aboutit aisément à sous-entendre que des rôles sociaux ou comportements humains genrés similaires sont biologiquement sexués. Par ailleurs, nombre de formulations couramment employées méritent d’être questionnées : « humain » est préférable à « Homme » ; « caractère sexuel secondaire » et « identité sexuelle », mal définis, sont dispensables ou à commenter ; la fécondation n’est pas par définition une action d’un (gamète) mâle sur un(e) femelle ; les gamètes mâles et femelles ne sont pas par définition complémentaires (cf. la parthénogénèse) ; « parents » n’est pas synonyme de « géniteurs » ; « hétérochromosomes » est préférable à « chromosomes sexuels » (laissant penser qu’ils ont pour fonction de déterminer le sexe des individus et leur sexualité) ; parler des hormones « sexuelles » pour désigner les hormones gonadiques, voire ajouter « féminines » pour les ovariennes et « masculine » pour la testostérone, est trompeur sachant qu’aucune n’est propre à un sexe et qu’elles ont diverses fonctions non liées à la sexuation ou la sexualité ; « intersexuation » et « transidentité » sont préférables à « intersexualité » et « transsexualité » qui confondent sexe et sexualité ; une atypie ou variation du développement du sexe n’est pas par définition un trouble ; « sexualité » n’est pas synonyme de « comportement reproducteur », ni comportement « maternel » de soin des petits ; etc. … exemplification, iconographie et ordonnancement Comme le vocabulaire, l’iconographie et les exemples choisis pour illustrer un phénomène peuvent opérer des biais qui, trop souvent, associent implicitement des comportements distincts à chaque sexe, comme par exemple lorsque seuls des couples hétérosexuels illustrent un cours sur la sexualité, lorsque la proximité génétique entre humains et chimpanzés est traitée en n’évoquant que le Chimpanzé commun et pas le Bonobo, ou encore lorsqu’on présente des corps humains caricaturalement sexués ou inutilement genrés (posture, activité, habillement…) pour illustrer un mécanisme biologique. Un autre point d’attention concerne la représentation de l’appareil génital, qui devrait en particulier inclure le clitoris entier et l’hymen (avec des descriptions précises), montrer la pilosité, des petites lèvres pouvant dépasser des grandes et le vagin tel qu’il est (et non comme un tube béant), et mettre en évidence les homologies des appareils féminin et masculin. Enfin, on pourra veiller à ne pas systématiquement mentionner le masculin avant le féminin, comme c’est encore trop souvent le cas…

Project Et si j’intégrais la perspective genre dans mon domaine? La Boîte à outils genre vous propose un ensemble de documents, fiches, liens utiles et diverses ressources pour vous faire découvrir les multiples utilisations et applications de l’approche genre. La Boîte à outils genre de la HES·SO - Haute école spécialisée de Suisse occidentale vous invitons à explorer à l’aide du moteur de recherche par thème, la base de données réunissant des liens à diverses publications et vidéos. Les différentes sections du menu vous offrent également plusieurs liens et ressources. Cette Boîte à outils genre est le fruit d’un travail collectif et collaboratif, nous vous encourageons à participer à alimenter la base de données en nous signalant des articles, livres ou autres publications pertinentes y compris les vôtres!

Project Die Schweiz weist eine der höchsten Lebenserwartungen in der Welt auf. Während immer mehr Menschen ein hohes Alter erreichen, bleibt die Geburtenrate niedrig. Die demografische Alterung ist eine Herausforderung für Individuum, Gemeinschaft und Gesellschaft. Deshalb suchte die Strategische Initiative «Alternde Gesellschaft» nach Wegen, um den Alterungsprozess als Chance und als Motor gesellschaftlicher, das heisst kultureller, sozialer, technischer und ökonomischer Entwicklung zu begreifen und zu nutzen. In insgesamt 19 Projekten forschten FHNW-Expertinnen und Experten in den Bereichen «Ageing Workforce», «Ageing & Living in Place» sowie «Ageing, Health & Social Welfare». Ihr Ziel dabei war es, einen Beitrag zur Verbesserung der Lebenslage sowie der Lebensqualität älterer Menschen zu leisten, um ihre Integration und Teilhabe im Alltags- und Arbeitsleben zu fördern.  Als Grundlage für verschiedene Projekte dienten gezielte Befragungen, mit denen zunächst eine wissenschaftlich basierte Datenlage über die alternde Gesellschaft in den Nordwestschweizer Kantonen geschaffen wurde. So haben die FHNW-Forschenden unter anderem Daten zur Wohn- und Lebenssituation älterer Menschen, zu ihren Bedürfnissen bei Bewegungs- und Sportangeboten sowie zur Einfacharbeit älterer Arbeitnehmender erhoben. In einem breit angelegten Projekt wurden ältere Menschen zu ihren sozialen Beziehungen und Unterstützungsleistungen befragt. Die Informationen aus den Umfragen können Gemeinden, Dienstleistern oder Unternehmen helfen, ihre Angebote und Produkte altersgerechter zu gestalten. Eine neue Internetplattform, der «Altersatlas», nutzt eine Vielzahl der erhobenen Informationen sowie Daten der statistischen Ämter und des Bundes, um Interessierten die gezielte Informationssuche bei altersspezifischen Fragen zu erleichtern.  Zusätzlich zu den informationsbasierten Projekten haben Forschende der FHNW gemeinsam mit Praxispartnern neue Produkte und Anwendungen für ältere Menschen entwickelt. Dazu gehören beispielsweise ein E-Rollator, eine höhenverstellbare Rampe, ein Notfallüberwachungssystem oder ein Türöffner. Diese Neuentwicklungen können der silbernen Generation im Alltag helfen. Das wichtigste Ergebnis der Initiative ist jedoch das bessere Verständnis von altersbezogenen Zusammenhängen. Dieses wird in Folgeprojekten weitere Lösungen für ein Altern in Würde und Selbstständigkeit liefern. Strategische Initiative «Alternde Gesellschaft» konkret Im Rahmen der Strategischen Initiative «Alternde Gesellschaft» sind peer-reviewed 11 Publikationen und 21 Konferenzbeiträge erschienen. In 22 Lehrveranstaltungen der Ausbildung sowie in 18 Lehrveranstaltungen der Weiterbildung an der FHNW werden Inhalte verwendet, die in Projekten der Initiative erarbeitet wurden. Studierende haben zehn Projektarbeiten, zwei Bachelor- und sieben Masterarbeiten angefertigt. Es wurden zwei neue Förderanträge bewilligt. Als neue Internetplattform wurde der „Altersatlas“ implementiert.

Project Die Hochschule für Technik der FHNW bietet zahlreiche Projekte im Technik- und Informatik-Bereich für Kinder und Jugendliche an.  Studien zeigen, dass sich Mädchen und Knaben schon früh für Technik interessieren und für ein Ingenieur-Studium begeistern lassen. Wir engagieren uns daher stark in der Nachwuchsförderung für die MINT-Fächer (Mathematik, Informatik, Naturwissenschaften und Technik). Dem Fachkräftemangel früh entgegenwirken Trotz der kontinuierlichen Zunahme von Studentinnen und Studenten an der Hochschule für Technik FHNW sind der geringe Frauenanteil in den technischen Studiengängen und der generelle Mangel an Fachkräften im Ingenieurwesen nach wie vor ein grosses Thema. Deshalb investiert die FHNW viel Zeit und Energie in die Arbeit mit Kindern und Jugendlichen.

Project Dans l’ère de l’Industrie 4.0 et de la numérisation, les personnes bien formées dans le domaine technique et des sciences naturelles sont devenues indispensables. Pour couvrir les besoins en forte croissance dans ce secteur, il faut des mesures de politique de la formation afin de renforcer les matières concernées. Dans le cadre des contributions liées à des projets (ClP) 2017-2020, diverses hautes écoles spécialisées et pédagogiques suisses ont mis en place un programme sur quatre ans intitulé «Mise en place d'un réseau national de promotion de la formation MINT – Formation initiale et continue des enseignants pour tous les types de haute école» (ou «Réseau formation MINT» en abrégé). Objectif L’objectif du programme consiste à regrouper le savoir-faire et la collaboration des hautes écoles techniques spécialisées et pédagogiques pour la formation initiale et continue des enseignants afin de contribuer à la promotion de la formation MINT de manière générale et à faire face au manque de personnel qualifié dans le domaine MINT en particulier. Grâce au programme, les enseignants doivent accroître l’intérêt et le plaisir des enfants et adolescents dans l'apprentissage des matières MINT, notamment chez les jeunes filles et femmes. Thématiques Le programme «Réseau formation MINT» est composé de plus de 20 projets portant sur cinq thèmes différents.

Project Evaluation des Impulsprogramms Kultur-Wegweiser zur Steigerung des Frauenanteils in technologiebasierten Unternehmen Die Vereinigung der Schweizer Ingenieurinnen SVIN hat ein Impulsprogramm zur Steigerung des Frauenanteils in technologiebasierten Unternehmen lanciert. Begleitend werden formative sowie summative Evaluationen der verschiedenen Programmteile durch das Institut für Personalmanagement und Organisation durchgeführt. Ziele des Programms sind unter anderem die Sensibilisierung der Unternehmen sowie die Auseinandersetzung mit möglichen Laufbahnen für Frauen in technologiebasierten Unternehmen.

Project CONNECT encourages women in science, technology, engineering and mathematics (STEM) to plan and develop their career. It aims to inspire all involved people to bridge the gap between academia, industry and public sector. CONNECT aims at linking young female researchers in the STEM fields with role models working in industry and the public sector, providing unique insights and an opportunity to exchange ideas and experiences. Participants engage in 6-7 full-day workshops over about half a year, discussing career paths and opportunities, improving their application documents and strategy, and networking with each other and with role models. CONNECT has brought more than 100 ambitious PhDs and postdocs in contact with representatives from industry and the public sector, and encouraged them to take informed career decisions.

EquOpp (pour Equal Opportunities) a pour tâche de sensibiliser les étudiant·e·x·s et en particulier les organes de l'Association Générale de Étudiant·e·x·s de Fribourg (AGEF) comme le Conseil Estudiantin (CE) et le Comité Exécutif sur les questions concernant la justice sociale et les différentes formes de discriminations. EquOpp est une commission thématique de l’AGEF, constituée d’étudiant·e·x·s engagé·e·x·s et s’inscrivant dans une vision intersectionnelle. Nous traitons de sujets comme l’égalité entre les genres, la lutte contre les discriminations raciales et les queerphobies, une meilleure inclusion des personnes en situation de handicap ou encore de la précarité estudiantine, ... Différentes activités sont proposées par EquOpp à la communauté universitaire. Tout d’abord, les derniers mardis du mois, trois fois par semestre, nous organisons des Feminist Meet-Ups. Ce sont des rencontres pour discuter autour d’une thématique (et d’un verre !) avec la possibilité de rencontrer de nouvelles personnes, tout cela dans un cadre bienveillant.  Plusieurs fois par années, nous proposons des conférences, pour lesquelles nous faisons venir des intervenant·e·x·s afin d’aborder certains thèmes d’un point de vue plus académique mais également des ateliers plus participatifs (comme l’atelier de courage civil proposé par l’association 1700 par exemple). Chaque semestre, nous organisons une soirée Queer pour offrir un cadre safe à chacun·e·x. Une fois par mois, nous nous réunissons lors une plénière durant laquelle nous discutons des dossiers en cours. Elle est ouverte aux personnes qui ne sont pas encore membre·x·s de la commission, donc si tu es intéressé·e·x par EquOpp, c’est l’occasion de mieux comprendre de notre fonctionnement et notre organisation Ces dernières années, EquOpp s’est particulièrement engagé dans la vie universitaire au travers de deux grands projets. Tout d’abord, l'Outil de report des discriminations un questionnaire anonyme qui permet à chacun·e·x de reporter une discrimination. Tu pourras trouver plus d’informations à ce sujet un peu plus bas dans la page. Notre deuxième projet a été la conceptualisation, la construction et la mise en place des boîtes de protections hygiéniques sur le campus. Grâce au soutien de l’AGEF et l’aide de l’Université, les boîtes ont pu être mises en place à la rentrée du semestre de printemps 2022 et remplies chaque mois avec des tampons et serviettes hygiéniques. À partir de 2024, c’est l’Etat de Fribourg qui reprend ce projet et qui l’étend à de nombreux bâtiments dans tout le canton. C’est une très belle avancée ! En plus de nos différents évènements et projets, la politique a une part importante dans nos activités. Ainsi, nous collaborons avec les différentes instances de l’Université, particulièrement avec le service EDI (égalité, diversité, inclusivité) mais également avec un maximum d’associations de la ville de Fribourg. Nous avons la volonté de créer un véritable changement pour faire de notre Université un espace safe, non-discriminant et inclusif pour touxtes. Toutes les dates de nos évènements sont publiées sur notre page Instagram, alors n’hésite pas à t’abonner ! Si tu souhaites nous rejoindre ou collaborer avec nous, tu peux venir à notre plénière mensuelle ou nous contacter par mail.

Die ZDfm – Zeitschrift für Diversitätsforschung und -management bietet ein Forum für die wissenschaftliche Auseinandersetzung mit dem Thema der Vielfalt. Dabei steht sie für eine Bearbeitung des Themas aus verschiedenen wissenschaftlichen Disziplinen und sucht explizit Vielfalt in der Diversität. Gleichzeitig hat sie es sich zur Aufgabe gemacht, Beiträge aus der Praxis zu integrieren und damit sowohl wissenschaftlich Tätigen den Zugang zu Diskussionen in der Praxis zu ermöglichen, als auch der Praxis den Zugang zum Stand der wissenschaftlichen Auseinandersetzung zu bieten. Jede Ausgabe der ZDfm enthält Beiträge aus Wissenschaft und Praxis bzgl. eines Schwerpunktthemas und eines offenen Bereichs: Langbeiträge, Positionen und Forschungsskizzen, Beiträge aus der Praxis und Aktuelles (Tagungsberichte, Rezensionen etc.).

Document The guideline "Successful Innovation. A Guideline for Female Scientists in the Life Sciences at Swiss Universities" is for women in life sciences who are looking for encouragement and want to make use of their drive and know-how and competences to assess the potential of their own ideas. We strongly believe that the conditions for female scientists to become entrepreneurs have never been better. Nothing should hold women back from the conviction that their ideas have value and that they MUST consequently enter the marketplace for e.g. Switzerland to remain competitive, and for society to grow in gender equality. Women-owned Small Medium Enterprises (SMEs) are reported to be growing at a faster rate than the economy as a whole in several OECD countries; however, the removal of anumber of obstacles would allow their potential to be fully tapped. These guidelines were developed as a helpful tool for female scientists, entrepreneurs, educators, coaches and all those involved in gender equality. Part 1 is for female scientists with a great idea on mind: In Towards increasing female impact on innovation, Ute Budliger reflects on the role of women in entrepreneurship and its current practice. In Career engagement and preparedness, Daniela Gunz and Roger Gfroerer guideline to proactively design important career transitions. In Why negotiation is your key in starting innovation from the academic lab, Carl Emerson shows that having strong negotiation skills allows you to establish what is your current baseline from which you position your new development. He introduces the best negotiation process according to the Harvard Negotiation Project and gives a Negotiation Preparation Checklist. In Best practice recommendations for a good life balance, Tanja Neve-Seyfarth et al. gives good practices for a woman’s career as well as for her private life that may contribute to a good life balance. The authors give an overview on institutional support at Universities of Zurich and Basel as well as ETH Zurich for example on organizing the maternity leave, visibility at event, academic age in grant applications but also personal measurements as for example organizing the work load, avoiding gate keeping, and the negotiation of family work with partner and employers. In How to apply the Business Canvas to your innovation project, Isabelle Siegrist discusses the innovation steps from business idea generation to market validation from a gender sensitive viewpoint. In Where do you get support for your project, Melanie Paschke and Manuela Dahinden provide information on how to access innovation support services, funding, awards, female innovation programs and networks. Part 2 is for educators, coaches and all those involved in gender equality: In Insights into feminno, Ute Budliger and Melanie Paschke present the outline and curriculum of the feminno program as an example for an impactful, women-only, innovation program at Swiss universities. In Towards an innovation-friendly culture for female scientists: Results from a Delphi survey, Melanie Paschke et al. explored the views of feminno participants, as well as experts in the fields of innovation management, gender equality, entrepreneurship, research or from other areas about the facilitators, barriers, requirements, resources and incentives that influence that female scientists can become successful innovators. What can institutionalized innovation and mentoring programs do to support female scientists, to establish networks and elevate confidence? How could a innovation-friendly entrepreneurial academic culture be supported by institutionalized programs?

Document Chez vpnMentor, nous avons mené une étude dans laquelle nous avons interrogé plus de 695 LGBTQ du monde entier à propos de leurs expériences en ligne, lorsqu’ils parlent de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre. Les résultats, référencés dans cet article, soulignent les challenges uniques rencontrés par la communauté LGBTQ. En tant qu’experts en cybersécurité, c’est notre mission de fournir des stratégies pratiques pour gérer l’adversité, l’intolérance et les abus sur le web, et c’est pour cela que nous avons créé ce guide. Que vous fassiez partie de la communauté LGBTQ+ ou que vous soyez un allié, nous espérons que ce guide vous sera utile.

Document ETH Learning & Teaching Journal, Vol. 3 No. 1 (2022): Diversity and Inclusion in Teaching and Learning Foreword Prof. Dr. Sarah Springman, Rector ETH Zurich, 2015– 2022 Diversity and Inclusion in the Teaching and Learning Environment Diversity and openness have been strengths of ETH Zurich since its foundation and contribute to ETH being one of the most renowned universities worldwide. The teaching and learning environment at ETH should ensure that students are able to achieve their full potential, whatever their background, gender or social class. Developing unused potential is a central aim for ETH. One of the key aspects is to promote diversity in the teaching and learning environment. This issue of the ETH Learning and Teaching Journal gathers articles on some projects, and initiatives, which exist in the ETH Community whose aims are to increase diversity in the learning environment. Some initiatives support bachelors’ students in their first year, others encourage reflection of how we could do better to integrate and encourage students from all backgrounds, while still others describe changes made in the curriculum to raise awareness of gender issues and increase inclusivity in particular disciplines. There are also articles from student and staff associations showing how involved the whole ETH community has become in promoting diversity. In addition, ETH’s “Barrier-Free Initiative”, begun in 2021, is presented here with the many aspects of making the university more accessible to students with different learning needs. Creativity and innovation in a university is enhanced substantially by including and enabling students from every sector of society. ETH members are already involved in numerous projects to ensure our students reach their potential. Working together in the next years we can expand the impact of our collective work to increase diversity in the learning and teaching environment.

Document Die Website stellt das Geschlechter-Radar vor. Das Radar zeigt verschiedene Dimensionen von Geschlecht – aus der Sicht von «LGBTQIA+ Geschlechtervielfalt» – auf: Körper, Geschlechtsidentität, Geschlechtsausdruck, Anziehung und Geschlechterrolle. Dabei gibt es verschiedene Perspektiven auf das Radar, Downloads, Links auf weiterführende Ressourcen etc. Die Website ist hauptsächlich in Deutsch gehalten, gewisse Inhalte sind aber auch in französischer und englischer Übersetzung verfügbar.

Document Le mot de la vice-rectrice L'Université de Genève compte plus de 17'000 étudiant·e·s et environ 6'500 collaboratrices et collaborateurs ! Ce sont les ressources les plus précieuses de notre Université. Au-delà des spécificités disciplinaires, toute la communauté universitaire est mue par les mêmes ambitions : dispenser et bénéficier d’un enseignement de qualité, valoriser l’expérience étudiante, développer et diffuser une recherche innovante en sciences naturelles, humaines et sociales, contribuer par le biais de nos curiosités et de nos savoirs au développement social, économique et culturel de la Cité. Pour nourrir ces ambitions, nous souhaitons offrir à tous les membres de notre Université un environnement de travail et d’études sain et respectueux. Sur ce site, vous trouverez les informations concernant les ressources à disposition à l’Unige en cas de conflit, de discrimination, de harcèlement, ou d'autres conduites menaçant l’intégrité ou la dignité. C’est aussi l’occasion de rappeler la tolérance zéro de notre Université vis à vis de telles conduites, et de souligner l’esprit de responsabilité dont doivent faire preuve non seulement les responsables d’équipe et les supérieur·e·s hiérarchiques mais aussi les témoins de telles conduites nocives et plus généralement tous les membres de l’Unige. A chacun·e de promouvoir le bien-être au sein de son cercle d’étude ou de travail à l’UNIGE !

Document swissuniversities publie annuellement des données sur la répartition par genre des embauches au niveau professoral dans les hautes écoles universitaires, ainsi que sur la proportion de femmes professeures dans les effectifs totaux de ces institutions. Ces chiffres servent de base aux discussions stratégiques de la Chambre des hautes écoles universitaires. Les statistiques dès 2017 sont établies par l’Office fédéral de la statistique selon une nouvelle méthode sur la base de l’Enquête du personnel des hautes écoles du Système d'information universitaire suisse. Au vu du nombre relativement faible d’observations, les résultats sont présentés sur une période de trois ans afin de prendre en compte l’effet des variations annuelles et garantir la protection des données. En plus de ces éléments, le projet-pilote Benchmarking rassemble des données dans les trois types de hautes écoles. Plus d’informations sont disponibles sur le site web du projet.  

Document Digitale Zugänglichkeit mit den Big Five unterstützen - Erfahrungen aus einem strategischen Entwicklungsprojekt an der Fachhoschule Nordwestschweiz Die modernen digitalen Informations- und Kommunikationstechnologien (IKT) haben das Potenzial, eine gleichberechtigte und selbstbestimmte Teilhabe auch in der Hochschulbildung zu ermöglichen (vgl. Bolfing, 2017; Steiner & Kaiser, 2023). Die digitale Transformation birgt damit große Chancen für die Inklusion von Menschen mit Behinderungen im Hochschulkontext. Die digitale Zugänglichkeit stellt sich jedoch nicht von selbst ein (vgl. Ackermann et al., 2022). Voraussetzung sind bewusste Entscheidungen und aktive Vorkehrungen bei der Entwicklung von IKT und bei der Erstellung von digitalen (Lehr-)Inhalten. An dieser Stelle setzt das Teilprojekt „E-Accessibility“ an der Fachhochschule Nordwestschweiz an und beschäftigt sich mit den Chancen und Risiken der Digitalisierung der Lehre für Menschen mit Behinderungen (Projektseite). Untersucht wird, wie digitale IKT eingesetzt werden müssen, sodass sie im Sinne der Inklusion barrierefrei nutzbar sind und nicht neue Barrieren für das Lernen, Lehren und Prüfen aufbauen. Als konzeptionelle Grundlage für unsere Projekttätigkeiten dienen uns die Big Five der digitalen Zugänglichkeit (siehe Abb. 1). Sie basieren auf den Inhalten der WCAG und dem Universal Design, jedoch scheinen sie uns für eine umfassende Verankerung des Themas besser geeignet. Ihre Formulierung unterstützt eine einfache Verinnerlichung für den täglichen Gebrauch und bildet daher eine Basis, um die Aspekte von Diversität und Digitalisierung ideal zu kombinieren. Obwohl der Begriff „Big Five“ in der Literatur nicht fest verankert ist, haben wir diese aus dem Motiv heraus entwickelt, Inhalte leichter und nachhaltiger zu gestalten. Ein weiterer Vorteil der Big Five ist die Möglichkeit, sie verschiedenen Arten von Be - hinderungen zuzuordnen.