Appello a contributi per le pubblicazioni ed eventi in Svizzera e all'estero.
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- Scadenza: 31 dicembre 2025 After German reunification in 1990, a popular narrative emerged: in terms of the politics of gender and sexuality, the Wende had been a disappointment for East Germans. Indeed, East German women were dubbed as the ‘losers’ of the reunification process. The absorption of the German Democratic Republic (GDR, East Germany) by the Federal Republic of Germany (FRG, West Germany) had led to the end of many rights that East Germans had taken for granted: generous maternity leave, state-subsidized all-day childcare, and reproductive rights such as abortion, to name just a few examples. West German feminists often dismissed these gains as a result of state socialism, rather than a struggle by autonomous feminists to achieve their own liberation. More recently, scholars have challenged this narrative, arguing for a more nuanced approach to women’s rights activism in the GDR and during the early 1990s. Likewise, a fresh wave of scholarship on queer lives in the GDR has explored gay rights activism and homoerotic spaces in East Germany, challenging long-standing assumptions about a total repression of non-heterosexual experiences. Emerging research on the post-socialist landscape of the 1990s–2000s also highlights the diverse ways East German activists reacted to reunification, contesting West German frameworks while reshaping their own political practices in a rapidly shifting landscape.This special issue for the Journal of Women’s History takes up this call to complicate our understanding of the history of feminisms, queer activism, and sexuality during and after the GDR. Contributions will engage with broader themes regarding the relationship between state socialist and liberal-democratic contexts, with issues of gender and sexuality. We welcome papers exploring a variety of questions and themes across the 1989 caesura, including but not limited to:What counts as feminist/queer activism? How were/are women’s, gay, and reproductive rights achieved?Feminist, queer, and trans subjectivities under socialismTransnational connections of East German women’s and gay rights activismIntersectional approaches to GDR feminism and queer activismFeminist and queer solidarity in and beyond the GDRFeminist and queer dealings with the Wende and post-socialist transformationsPost-1990 memory of gender- and sexuality-related topics during the GDRIf you’re interested in contributing to this special issue, please send a short 250-word abstract to aruble@uidaho.edu. The deadline for paper abstracts is January 31, 2026.
- Scadenza: 31 dicembre 2025 Deuxième édition des JOURNÉES D'ÉTUDES PLURIDISCIPLINAIRES: "Rites culturels et Violences Basées sur le Genre: quelles solutions pour l'épanouissement social et économique?"Université Omar Bongo (Gabon) du 20 au 22 mai 2026ContexteL’existence des violences basées sur le genre appelle une analyse de l’humain dans l’intersubjectivité. Ce concept, l’intersubjectivité, réussit à définir la condition la plus immédiate de l’humain et annonce subtilement les attentes des individus dans l’espace social. En effet, au-delà d’une simple coexistence pacifique, c’est dans un rapport d’égalité entre les sujets en relation que le social peut s’épanouir. Mais cet épanouissement exigé par la condition humaine, comme le souligne Rita El Khayat, est difficile à assumer ou problématique car bien peu des problèmes humains fondamentaux ont été résolus En le disant, l’auteure de Violences traditionnelles contre les femmes met le doigt sur la survivance de la violence dans les rapports intersubjectifs avec une insistance sur le fait que les femmes soient la fraction sociale qui subit le plus les violences. S’il existe un mécanisme de réponse en cas de violence, l’impact qu’il produit, assez dommageable, met le développement d’une stratégie efficace de prévention sur la table de la réflexion. En effet, écrit Axel Honneth, « en essayant, dans quelque intention que ce soit, de se rendre maitre du corps d’une personne contre sa volonté, on la soumet (…) à une humiliation qui détruit en elle, plus profondément que d’autres formes de mépris, sa relation pratique à soi ; car la particularité de telles atteintes, torture ou viol, ne réside pas tant dans la douleur purement physique que dans le fait que cette douleur s’accompagne chez la victime du sentiment d’être soumis sans défense à la volonté d’un autre sujet, au point de perdre la sensation même de sa propre réalité »[2]. Il est ainsi évident que ce soit la qualité-même de sujet social de l’être violenté qui se trouve brisée ; d’où la nécessité de renforcer l’attention face aux violences.Les Grands axesRites traditionnels et pouvoir social : quand les pratiques culturelles participent à la perpétuation des violences basées sur le genrePratiques rituelles et violences basées sur le genre (VBG) : analyse des formes, des justifications et des conséquences socialeRites culturels : entre transmission identitaire et reproduction des inégalitésRites et violences basées sur le genre : vécus, impacts, résistances
- Scadenza: 05 gennaio 2026 Colloque international « Études queer, études de genre et cultures populaires francophones »Les 19 et 20 février 2026, l’espace académique franco-québécois en études de genre, études queer et cultures populaires se réunira à Toulouse pour échanger sur ces thématiques dans le cadre d’un colloque organisé par Stéfany Boisvert (UQAM) et Déborah Gay (Université de Toulouse Jean Jaurès).L’organisation de ce colloque international découle d’un constat : si l’apport anglo-saxon est important dans le champ d’études recoupant les cultures médiatiques et les études de genre/queer, il demeure encore par trop majoritaire face à la richesse des travaux francophones. Plus encore, bien que les études de genre et les études queer soient depuis plusieurs années mobilisées en France (Dalibert 2018; Coulomb-Gully 2022; Gay 2026) et au Québec/Canada (Boisvert 2023; Boisclair, Poirier Girard et Landry 2020; Baril 2017, 2025), et plus précisément dans le cadre d’analyses médiatiques et sur les cultures populaires (Burch et Sellier 2009; Lécossais 2020; Lallet 2025; Barrière 2022, Boisvert et Bélanger 2020; Boisvert 2022; Rouleau 2022; Boni 2023), il y a pour le moment très peu de dialogues de part et d’autre de l’Atlantique Nord.Autrement dit, bien que la recherche sur ces questions se développe de manière dynamique dans plusieurs pays, elle demeure souvent cloisonnée, en raison de traditions théoriques et méthodologiques différentes et d’un manque de circulation des savoirs. Nombre croissant d’ouvrages grand public sur des enjeux féministes et de genre sont également produits depuis une dizaine d’années (Bahaffou 2022, 2025; Bergeron 2023; Delvaux 2013, 2021; Galand 2021), mais dont la circulation et la reconnaissance transfrontalière se voit tout autant freinée par ce manque de réseautage. Afin de contribuer à pallier ces problèmes, le colloque Études queer, études de genre et cultures populaires francophones entend réunir de nombreux chercheur·es francophones issu·es de différents pays et institutions et, ce faisant, mettre en valeur les recherches en cours et favoriser le déploiement d’initiatives internationales en recherche.Il s’agit donc d’un des tout premiers colloques sur le sujet visant spécifiquement à faire dialoguer l’espace européano-québécois francophone.Si vous faites partie de la relève en recherche (étudiant·es de master/maîtrise, de doctorat ou postdoctorant·e) et êtes intéressé·e à prendre part à cette journée de mentorat, merci d’envoyer votre proposition de communication d’environ 500 mots, accompagnée d’une courte notice biographique aux adresses suivantes : boisvert.stefany@uqam.ca et deborah.gay@univ-tlse2.fr au plus tard le 5 janvier 2026. Les propositions seront évaluées par un comité scientifique et les personnes sélectionnées seront contactées le 15 janvier.
- Scadenza: 05 gennaio 2026 Ce dossier vise à explorer, à partir de plusieurs champs disciplinaires, les espaces, les normes et les pratiques du travail à domicile. Il a pour ambition d'analyser les effets du cadre privé de l’habitat sur les formes du travail, ainsi que sur les manières d’habiter les espaces domestiques envisagés comme un lieu de travail mais aussi un lieu de vie. Ainsi, cet appel s’intéresse à la fois au travail que l’on réalise chez soi, mais aussi à celui qu’on effectue chez les autres.Les géographies sociales du travail constituent un champ de recherche en expansion, dont témoigne le numéro récent de la revue Carnets de Géographes consacré aux Géographies du travail (Chapuis, Estebanez, Ripoll & Rivière, 2023). La dimension spatiale du travail fait l’objet de recherches récentes, qui interrogent notamment les effets d'interdépendance entre travail et production de la ville, à l'instar des travaux du groupe transversal « Villes et métiers » du LABEX Futurs urbains. Des études s'attachent aux « monde[s] du travail », compris comme « groupe[s] de professions en interaction sur un territoire donné », comme le propose Marie Lécuyer dans son travail sur les travailleurs et travailleuses portuaires (2023). L’analyse des évolutions de la distribution des emplois, de la dimension spatiale des trajectoires professionnelles, ainsi que des pratiques et mobilités quotidiennes liées au travail, s’opère fréquemment en articulation avec les migrations, mises en avant dans un récent numéro double de la Revue européenne des migrations internationales (Schmoll & Weber, 2021) et dans un numéro spécial de la Chronique internationale de l'IRES (Magnan & Math, 2024). Les lieux du travail et leur inscription dans la ville sont aussi un champ de recherche important, particulièrement développé à propos des activités professionnelles dans l’espace public, qu’il s’agisse des marchés (Morange & Quentin, 2017) ou de la rue comme espace de travail informel (Collectif Rosa Bonheur, 2019 ; Jacquot & Morelle, 2023).Les propositions dans le cadre des Carnets de recherches et des Carnets de terrain feront l’objet d’une relecture en double aveugle par des spécialistes. Les propositions pour ces deux rubriques sont attendues le 5 janvier 2026. Les propositions dans le cadre des Carnets de débats, Carnets d’enseignement, Carnets de lectures et Carnets de soutenance ne font pas l’objet d’une relecture en double aveugle, mais seront relues par le comité de direction. Les propositions pour ces quatre rubriques sont attendues le 2 février 2026.Sophie Blanchard, Laura Durand, Emily Egan et Lilite Rossignol
- Scadenza: 07 gennaio 2026 Depuis plusieurs décennies, les études de genre ont profondément renouvelé notre compréhension des rapports sociaux, des identités et des inégalités. Pourtant, elles suscitent encore aujourd’hui de fortes résistances et une hostilité politique marquée, formant un mouvement anti-genre porteur de ce que l’on nomme une « panique morale ». Ce phénomène met au défi les acquis féministes, LGBTQIA+ et intersectionnels, révélant un affrontement idéologique majeur. “Lobby” féministe ou LGBTQIA+, “islamo-gauchisme” ou “wokisme”, tous les disqualificatifs possibles ont été associés au genre. Mais de quelles peurs le genre est-il le nom ?C’est pour répondre à cette question que ce colloque réunit des perspectives variées – arts, géographie, architecture, sociologie, philosophie, science politique, de l’éducation, histoire, littérature, études culturelles, droit, santé, psychologie, sciences du langage… – pour interroger, de manière pluridisciplinaire, les racines et les effets de cette peur suscitée par les études de genre. Ce colloque ambitionne premièrement de mettre en valeur les apports critiques des études de genre aux dynamiques d’émancipation, de justice sociale, d’attention au care, ainsi qu’à l’amélioration concrète de la vie quotidienne non seulement des femmes mais plus généralement de l’ensemble des vies fragilisés par des modèles normatifs et oppressifs. Deuxièmement, ces journées visent à établir un état des lieux des espaces et des logiques de résistance au genre, en France comme à l’étranger.Pour cela il convient d’envoyer une proposition (peu importe le format) à l’adresse suivante colloquegenre2026@gmail.com avant le 7 janvier. Le comité d’organisation adressera ses réponses le 15 janvier.
- Scadenza: 09 gennaio 2026 Ziel des Arbeitskreises AIM GENDER ist die fächerübergreifende gegenseitige Wahrnehmung und Kooperation von Forschenden aus Geschichts-, Literatur-, Kultur- und Politikwissenschaften sowie Soziologie, die zum Thema Männlichkeiten und deren Auswirkungen auf Kultur und Gesellschaft in Vergangenheit und Gegenwart arbeiten. Beiträge aus anderen Fachrichtungen sind willkommen.25 Jahre Arbeitskreis für interdisziplinäre Männer- und Geschlechterforschung AIM GENDER18.–20. Juni 2026, Stuttgart-Hohenheim2026 kann AIM GENDER, der Arbeitskreis für interdisziplinäre Männer- und Geschlechterforschung, auf 25 Jahre regelmäßige Treffen zurückblicken, die dazu beitrugen, die interdisziplinäre kritische Männlichkeitenforschung sichtbar zu etablieren. Selten lag der Forschungsgegenstand in dieser Zeit so klar in seiner gesellschaftlichen Relevanz vor Augen wie gegenwärtig. Ob wir eine „masculine energy“ beschwören wollen, wie Mark Zuckerberg dies tut, oder am permanenten Ringen um Männlichkeit des Schriftstellers Karl Ove Knausgård in seinen literarischen Texten teilhaben, ob in den Feuilletons über eine „toxische Männlichkeit“ diskutiert wird oder ob wir dem Ringen um die Vorherrschaft in der augenblicklichen „Broligarchie“ in den USA zusehen: Männlichkeit ist längst aus der Unsichtbarkeit des Selbstverständlichen herausgetreten. Zentrale Begriffe und Kategorien wurden in über zwei Dekaden kritischer Männlichkeitenforschung entwickelt und sind in die öffentlichen Debatten eingeflossen, andere drängen gerade aus dem politischen in das wissenschaftliche Feld ein. Der für den akademischen Blick so wichtige Plural findet inzwischen auch in den Lebenswelten Beachtung und Anerkennung, zugleich entzünden sich an ihm nach wie vor immer neue Kontroversen.Wir wollen das 25. Jubiläum des Arbeitskreises für interdisziplinäre Männer- und Geschlechterforschung zum Anlass nehmen, um die Verhandlung von Männlichkeiten in der Forschung und in der öffentlichen Wahrnehmung zu diskutieren. Bei dieser Gelegenheit wollen wir erstens (selbst-)kritisch auf die Entwicklung des akademischen Felds zurückblicken, zweitens einen Raum zur Diskussion gegenwärtiger Debatten und Trends liefern (sowohl begrifflich-konzeptionell wie an Themen orientiert), und schließlich drittens Ausblicke auf mögliche Aufgaben und Fragen ermöglichen.Es sind Beiträge aus allen Feldern und Disziplinen erwünscht, die Trends, Phänomene, Diagnosen und wissenschaftliche Beobachtungen zu aktuellen Männlichkeiten und Männlichkeitsdiskursen vornehmen und/oder auch Ausblicke zur Zukunft der Männer und Männlichkeiten wagen. Diese thematischen Aspekte sind als Anregung für Beiträge zu allen Epochen, allen Bereichen des Sozialen sowie allen ästhetisch-kulturellen Medien und Artikulationsformen gedacht.Wir laden ein, Abstracts (höchstens eine Seite, max. 1.800 Zeichen, bitte nur als PDF!) für einen Vortrag bis zum 9. Januar 2026 an Toni Tholen (tholen@uni-hildesheim.de) zu schicken. Das Abstract muss Name, Fachrichtung, Position und E-Mail-Adresse der vorschlagenden Person und einen Vortragstitel enthalten. Die Problemstellung und die benutzten Materialien sollten klar herausgearbeitet werden. Aus diesem Pool von Vorschlägen wird das Programm zusammengestellt. Spätestens im Februar 2026 werden Sie informiert, ob Ihr Vorschlag für das Programm angenommen worden ist. Tagungssprache ist Deutsch. Abstracts und Vorträge können aber auch in englischer Sprache gehalten werden.Eine Finanzierung kann nicht übernommen werden.Allen an der Teilnahme Interessierten empfehlen wir, sich direkt bei der Akademie der Diözese Rottenburg-Stuttgart, Fachbereich Geschichte, vormerken zu lassen (geschichte@akademie-rs.de). Diese Vormerkung ist unabhängig von der Präsentation oder Annahme eines Diskussionspapiers.
- Scadenza: 11 gennaio 2026 Vulnerable Bodies. Interdisciplinary Perspectives on Vulnerability in Nineteenth-Century History, Literature, and CultureIn Britain, the emergence of industrial medicine and the Poor Law reforms, most notably the Poor Law Amendment Act (1834), exposed working-class populations to new regimes of medical inspection, while^also highlighting their precarious access to care. Debates over the conditions of factory workers, cholera outbreaks in urban centres, and the establishment of workhouses brought the vulnerability of people and their bodies into sharp political focus. In Germany, the first steps toward the professionalization of nursing and the rise of large psychiatric asylums and hospitals drew attention to the fragile boundaries between care, discipline, and control. Public health campaigns focused on the ‘sanitary awakening’ of the public and were shaped by figures such as Edwin Chadwick, John Snow, and Robert Virchow, who sought to improve societal health through clean water, waste removal, and vaccinations. Responses to typhus and tuberculosis epidemics further highlighted how states, institutions, and medical authorities defined and managed vulnerable populations. These examples reveal how vulnerability was embedded in society, shaping political, cultural, and healthcare-related questions through complex interactions. Simultaneously, modern medicine “rested upon the figure of the vulnerable and unstable subject on the one hand and the medical, administrative, and political expert systems taking care of mitigating the impact of unstable political and social constellations on the other“, creating new forms of doctor-patient dependence in which knowledge – and its absence – actively shaped both concepts of vulnerability and the production of vulnerable bodies. By analyzing narratives of illness, health, disability, and nursing, this edited volume seeks to illuminate the ways in which medical and nursing knowledge, power structures, and social hierarchies shaped experiences of vulnerability in British and German nineteenth-century literary and cultural contexts. Special attention will be given to how vulnerability was constructed, represented, and managed historically as well as to intersectional factors—such as class, gender, race, and disability—and their influence on healthcare access and patient autonomy. Furthermore, we are particularly interested in how literature, cultural memory, and historical narratives both reflected and challenged the dominant frameworks of nineteenth-century vulnerability. Through an intersectional and interdisciplinary lens, the aim is to underscore vulnerability as both a historical construct and a lived reality—one that profoundly influenced patient care, medical authority, and cultural representations of health, while also leaving traces in current debates on healthcare, disability rights, and medical ethics.We invite contributions from scholars at all career stages – encouraging especially early-career scholars – working in fields including literature and cultural studies, (medical) history, medical humanities, nursing studies, sociology, art history, media studies, ageing and disability studies, cultural anthropology, and related disciplines.Papers may focus on any (inter-)disciplinary perspective and engage with any medium. Possible topics include, but are not limited to, the following:medical epistemologies and power: how knowledge (or its absence) shaped vulnerability/the creation and exploitation of vulnerable bodiesmedical ethics and authority: patient autonomy and doctor-patient relationship in nineteenth-century practice and discoursethe politics of vulnerability in healthcare, social reform, and cultural debatesthe professionalization of nursing and care work - public health: epidemics, pandemics, contagion and the management of illness and disease in nineteenth-century Britain and Germany - vulnerability, class, and industrial labour (child labour, miners’ health, factory legislation)institutions of care: asylums, hospitals, convalescent homes, and poorhouses as sites of vulnerabilityliterary and cultural representations: nursing and therapy in British and German literature; resistance to medical power structures, patientvoices and representations of suffering, healing, and careillness, disability, aging, trauma, end-of-life care, and childhood vulnerability in medical institutions and nursing environmentsstages of life and bodily vulnerability: childhood, aging, poverty, disability and mental healththe medical gaze: perceptions of the vulnerable body in medicine, literature, and (popular) culturegendered bodies and medical authority: obstetrics, hysteria, maternal mortality, and motherhoodgenre and representation: the influence of genre on representations of vulnerability (letters, biographies, medical writing, realist novel, poetry, satire, sentimental fiction, periodicals, art)intersectional dimensions of vulnerability (gender, sexuality, race, class, age, etc.)emotional dimensions of vulnerability in nineteenth-century healthcare workcolonial medicine: exploitation, ideology, and resistance; nursing in colonial and missionary medicineimposition of Western medical frameworks on colonized populations; erasure of non-Western healing methodsSubmission GuidelinesPlease submit chapter proposals of up to 500 words, together with a brief chapter outline and a short bio of up to 200 words, as a single .docx or .pdf file to both editors, Miriam Läpple (Department of Nursing Science, mlaepple@uni-koblenz.de) and Sarah Schäfer-Althaus (Department of English and American Studies, salthaus@uni-koblenz.de), by 11 January 2026.The notification of abstract acceptance will be sent out in February 2026. Full-length articles (7,500 words, including references) are due by 30 September 2026 (tentative), with publication expected in 2028.Dr. Sarah Schäfer-Althaus: salthaus@uni-koblenz.de;Miriam Läpple, PhD: mlaepple@uni-koblenz.de
- Scadenza: 11 gennaio 2026 About the WorkshopThe present feels haunted by the exhaustion of old promises: the collapse of liberal hopes, the hollowing of democracy, the erosion of care, the re-emergence of fascism, the persistence of colonial logics, and the expansion of global precarity. At the same time, new feminist and queer vocabularies of living, imagining, and organizing are taking shape—often fragile, experimental, and defiantly alive.Life After Death: Feminist and Queer Perspectives on the Global Now brings together scholars who diagnose our moment of crisis and probe the possibilities of renewal. Drawing on feminist, queer, anti-racist, decolonial, and ecological thought, the workshop aims to think about collapse and what comes after collapse, exploring how life, care, and politics might be reconstituted from exhaustion.Panels will address five key conjunctures shaping our global present, convened by members of the Politics and Gender Research Group, of the Institute for Political Science (IPW), at the University of Vienna.Panels and Organizers:Illiberal Biopolitics? Family, Gender, Social Reproduction, and the New Radical RightConvened by: Katharina HajekThe Demise of Feminist Promises? Queer/Feminist Entanglements with neoliberalism and nationalismConvened by: Lucie NaudéLife After Liberalism? Feminism, Neoliberalism, and the Politics of AbandonmentConvened by: Dorit GevaFrom Caring to Careless Democracy? Approaching Care through the Lens of Democracy—and Democracy through the Lens of CareConvened by: Ayse DursunFeminist Futurities and Futures of FeminismsConvened by: Firoozeh FarvardinHow to ApplyPlease send your proposal to our email address: lifeafterdeath2026.ipw@univie.ac.atYour submission should include:Abstract (max. 250 words) describing your proposed paperIndicate which panel you believe is a best fit for your proposed contributionShort bio (max. 150 words) with institutional affiliation and contact detailsPlease provide a budget overview for your participation, including:- Estimated travel costs- Available financial support, if any — please indicate the amount.- Requested financial support, if applicable — specify the amount needed and provide details on travel costs, considering environmentally friendly options (e.g. train travel where possible).For queries, please contact: lifeafterdeath2026.ipw@univie.ac.at
- Scadenza: 11 gennaio 2026 9e congrès international des recherches féministes dans la francophonie 17 au 21 août 2026 | Université laval | Québec, CanadaLe Congrès international des recherches féministes dans la francophonie (CIRFF) a vu le jour en 1996 à l’Université Laval à Québec / Kepek grâce au leadership de la professeure Huguette Dagenais, alors titulaire de la Chaire Claire-Bonenfant – Femmes, Savoirs et Sociétés (CCB). Premier congrès international de recherche féministe tenu en français, le CIRFF a été créé dans un contexte où les études féministes étaient dominées par la recherche anglo-saxonne, ce qui a motivé les idéatrices du CIRFF à intensifier le réseautage international en langue française. Le thème de ce premier CIRFF, « État de la situation et pistes de collaboration », soulignait déjà les portées intersectorielle et interdisciplinaire du Congrès. Depuis, le CIRFF s’est tenu dans huit villes (Québec, Dakar, Toulouse, Ottawa, Rabat, Lausanne, Montréal et Nanterre) et sur trois continents (Amérique du Nord, Afrique et Europe), devenant un événement incontournable pour les communautés féministes francophones dans le monde. Trente ans plus tard, le CIRFF revient à son point d’origine à l’Université Laval pour sa neuvième édition, qui se tiendra du 17 au 21 août 2026, sous le thème « (Ré)Imaginer : francophonie, luttes et savoirs féministes ».Si les anniversaires sont des moments propices pour célébrer les avancées, ils le sont aussi pour réfléchir de manière critique aux accomplissements passés et aux défis actuels. Le contexte mondial, marqué par la montée du populisme et des droites, ainsi que par la normalisation des discours haineux - notamment racistes, transphobes et antiféministes - entraîne un recul des droits des femmes et des personnes de la diversité sexuelle et la pluralité de genre, particulièrement celles vivant à l’intersection de multiples systèmes d’oppression. Cette conjoncture rappelle la nécessité des approches féministes dans la recherche, la création et l’action. Depuis plus de trente ans, les recherches féministes francophones interrogent, dénoncent et transforment les structures de pouvoir, en ouvrant des espaces de solidarités et de résistances. Tout en visant à renforcer les solidarités locales et internationales, cette édition sera guidée par une réflexion à la fois interdisciplinaire et intergénérationnelle, alliant le devoir de mémoire à une volonté affirmée de soutenir la relèveTrente ans après sa première édition à Québec, le CIRFF revient à son point d’origine à l'Université Laval pour rassembler les communautés féministes de la francophonie autour de réflexions critiques, interdisciplinaires et intergénérationnelles. Cette édition invite à (ré)imaginer les féminismes autours de trois axes : les rapports à la francophonie, les luttes féministes et les savoirs féministes.Les propositions peuvent être soumises jusqu’au 11 janvier 2025 à 23 h 59 (HE) via le formulaire électronique suivant : https://event.fourwaves.com/fr/cirff2026/soumission
- Scadenza: 15 gennaio 2026 The organizing committee invites proposals for papers for the upcoming conference “Underprivileged Bodies: Marginality and Minority in Europe, 1850–1939”, to be held on July 6–8, 2026, at the Department of Jewish Studies, Wrocław University.This conference seeks to explore how marginalized and minority bodies were imagined, categorized, and governed in Europe between 1850 and 1939, as well as how individuals and communities experienced, performed, and contested these regimes of representation and control. We welcome papers that address a broad range of minorities—including ethnic, religious, gender, class, age, sexual, and disabled communities—but we place particular emphasis on the Jewish body as a key site of modern European anxieties, fantasies, and negotiations. We are also interested in exploring diversity within Jewish society itself, including the experiences of Jewish women, children, the poor, migrants, or religious and cultural sub-groups who were subject to multiple layers of marginalization.Topics may include (but are not limited to):Visual and scientific representations of Jewish and other minority bodies—by the minorities themselves or through dominant discoursesMinority and marginalized bodies in institutional settings: prisons, asylums, schools, hospitals, poorhousesGendered and queer embodimentsJewish laboring bodies: class, migration, gender, occupationPublic health campaigns, hygiene discourses, and the surveillance of Jewish and other minority bodiesNarratives and experiences of illness, disability, and corporeal difference in Jewish and non-Jewish communitiesEmbodiments of childhood, adolescence, and old age in minority contextsJewish and other minority bodies in imperial and transimperial settings: the Russian, Austro-Hungarian, and German empiresComparative or transnational approaches to marginal bodies across European regions, states, or empiresThe geographical scope of our interest includes eastern, central, and southern Europe, including the Balkans. We particularly encourage contributions that foreground Jewish experiences while situating them in broader comparative, transnational, or interdisciplinary frameworks.Submission Guidelines:Please send a 300-word abstract along with a short bio (max 200 words) to the email underprivilegedbodies@gmail.com by January 15, 2026. Notifications of acceptance will be sent by February 28, 2026.For questions, please contact Dr. Ekaterina Oleshkevich at ekaterina.oleshkevich@mail.huji.ac.il or Dr. Zuzanna Kołodziejska-Smagała at zuzanna.kolodziejska-smagala@uwr.edu.pl.The conference is organized with the support of the Department of Jewish Studies, Wrocław University, and Jack, Joseph and Morton Mandel School for Advanced Studies in the Humanities, Hebrew University of Jerusalem.
- Scadenza: 15 gennaio 2026 Appel à contribution de la revue Nouvelles Questions Féministes pour le numéro 46/2, 2027 coordonné par Véronique Bayer, Coline Cardi, Clothilde Palazzo-Crettol, Armelle WeilCe numéro de Nouvelles Questions Féministes s’intéresse aux figures féminines négatives, étiquetées comme indignes, grotesques, déviantes, effrayantes, voire dégoûtantes ou monstrueuses. Plutôt que de nourrir les discours masculinistes qui érigent trop souvent ces figures en menace, il s’agit ici, dans une approche féministe, de leur redonner une forme de légitimité pour dessiner les normes de genre et la possibilité de leur transgression.Pourquoi les figures de monstruation féminine intéressent-elles, ou devraient-elles intéresser le féminisme ? Les prendre pour objet d’analyse permet d’abord de questionner en creux la constitution des normes de genre. Parce qu’elles dévient de ces normes ou les transgressent, ces figures sont stigmatisées et sanctionnées. Ces processus (transgression, labellisation, sanction) sont de puissants révélateurs de l’ordre social, notamment patriarcal (Cardi et Pruvost, 2015) et des modalités de sa préservation. Ensuite, perçues comme négatives, ces figures peuvent permettre – pour celles qui les incarnent ou les autres – de dessiner un autre univers des possibles, par la remise en cause des normes, par leur redéfinition, par leur transformation concrète. Nouvelles comme très anciennes (Demartini, 2018), elles recèlent un pouvoir d’émancipation et proposent des pistes pour rendre visible, et lutter contre, l’oppression.L’approche ici retenue se veut interdisciplinaire : nous attendons des contributions, issues de diverses disciplines en sciences humaines, sociales et historiques, en études littéraires et artistiques, autour de trois axes principaux. Le premier s’intéresse à certaines figures qui peuvent être pour les féministes des sujets politiques positifs, car résistantes. Le deuxième axe se focalise sur les corps « monstrueux » : porteurs de stigmates ou non conformes aux normes, ils viennent questionner les stéréotypes associés au féminin valide et désirable. Le troisième axe est consacré aux figures qui suscitent l’horreur ou le dégoût du fait de leur violence, de leurs déviances, de leur maltraitance, de leur attitude guerrière ou meurtrière. La mise en récit ou en images de ces figures révèle, là aussi, la puissance des catégories normatives tout en offrant les moyens de leur transgression.Axe 1 : Des figures de résistance ou des formes d’essentialisation ?Axe 2 : Corps déviants, effrayants et processus de marginalisationAxes 3 : Des femmes violentes, criminelles et déviantesCet appel cherche à recueillir des articles des diverses disciplines de sciences humaines, sociales et historiques, des études littéraires ou artistiques, éclairant un ou plusieurs des axes proposés et portant sur divers contextes nationaux. Les propositions d’articles de deux pages (hors bibliographie) sont attendues pour le 15 janvier 2026 en format word, interligne simple, caractère 12, envoyées par mail à nqf_redaction@hetsl.ch.Elles doivent contenir le nom et le prénom des auteurices ainsi que leur discipline et éventuellement leur institution de rattachement. Elles peuvent inclure une bibliographie.
- Scadenza: 15 gennaio 2026 Organized by Valerie Sofie Tollhopf and Eva Meijer13 April, University of Amsterdam, AmsterdamThis symposium aims to investigate connections, overlaps and tensions between critical animal studies and trans studies.Currently, there is some engagement with animal studies and posthumanism from a trans studies perspective, and there is some acknowledgement of trans studies from a critical animal studies perspective. However, critical animal studies? engagement with trans studies remains scarce and at times theoretically shallow, in that it draws on trans studies discourses in a tendentially superficial way. Trans studies? discussion of nonhuman animals does not always conceptualize their position in critical (political) terms.With this symposium we aim to foster a dialogue between trans studies and critical animal studies. This is beneficial for both fields: CAS can gain important perspectives on a so far under-theorised axis of domination (one that plays an important role in current processes of fascisation and must thus be part of comprehensive political analyses). Trans studies can expand on its current involvement with animal studies, adding a more critical stance towards human-animal relationships and an all too peaceful notion of ?entanglement?, which considers the material conditions of animal struggles.We also aim to conceptualize and foster political solidarity. In the current age of authoritarianism, both trans studies and critical animal studies are under threat. Furthermore, under the rise of right-wing extremism trans people worldwide are increasingly met with hostility and violence. While not obscuring the differences, better understanding processes of othering and objectification can help shed light and fight the oppression of both groups.We invite abstracts for 20 minute presentations on the following and related themes:Animalization, dehumanization & (racialized) transnessNew materialist and other (e.g. historical materialist) approaches to trans and critical animal studiesDecolonial and Indigenous approaches to trans and critical animal studies?Trans? nonhuman animals, gender nonconforming animals, multispecies trans solidarityQueer and trans ecology approachesTrans studies and critical animal studies from a social movement perspectiveConsidering trans people and animals jointly in the current political climate (e.g. further exploration of notions like ?soy boy? as fascist imaginary of racial and gendered degeneracy, tied to the consumption of plant-based protein)Historical perpectives on trans-animal topics - e.g. animal experimentation in endocrinology, the interconnected emergence of the taxonomies of race, species, and genderRelations of trans people and nonhuman animals to capitalist relations, to production and reproduction; commonalities and (substantial) structural differences; potential modes of allianceAnthropodecentering trans studies: What is at stake by including critical engagement with animals in the field? What are potential objections to the conjunction?Total liberation approaches / anarchist perspectives on the connection between trans and critical animal studiesTrans-exclusive genealogies of critical animal studies via ecofeminism & how to engage with thatQueering and transing critical animal studiesJoy, possibility, fluidity, utopia: How to live differently with ourselves and others.In addition to academic presentations, we also invite artists, activists and organizers to send proposals for presentations. Please note that there is no financial support available for showing art works or performances. The deadline for abstracts is January 15th 2026. You can send your abstract of max. 300 words to transanimalstudies@gmail.com, mailto:transanimalstudies@gmail.com. This is an in person event and there is no opportunity to present or attend online.
- Scadenza: 31 gennaio 2026 Arbeitstagung der „Konferenz der Einrichtungen für Frauen- und Geschlechterstudien im deutschsprachigen Raum (KEG)“, 28./29. Mai 2026Die 24. Arbeitstagung der „Konferenz der Einrichtungen für Frauen- und Geschlechterstudien im deutschsprachigen Raum (KEG)“ findet am 28./29. Mai 2026 in Präsenz an der Universität Wien statt. Die Tagung wird vom Referat für Genderforschung mit Unterstützung der Abteilung Organisationskultur & Gleichstellung ausgerichtet. Bei der Arbeitstagung der KEG 2026 sollen wieder sowohl hochschulpolitische, disziplinäre und kommunikationsbasierte Entwicklungen und Fragestellungen als auch gesamtgesellschaftliche Anliegen und Debatten in den Blick genommen werden. Wichtiges Grundanliegen der KEG ist der qualifizierte Erfahrungsaustausch zwischen den institutionalisierten Einrichtungen im deutschsprachigen Raum wie auch der Dialog mit außeruniversitären queer-feministischen Projekten. Der Erfahrungsaustausch soll zu einer diagnostischen Sicht auf Potentiale und Herausforderungen der Hochschul- und Universitätsentwicklungen verhelfen und dazu beitragen, Formen und Strategien der Institutionalisierung zu reflektieren und weiter voranzutreiben. Ausgewählte Themen werden in Arbeitsgruppen austausch- und ergebnisorientiert diskutiert.Es gibt die Möglichkeit, bereits bestehende AGs fortzuführen:Antifeminismus in Hochschule, Wissenschaft und GesellschaftBerufsperspektiven in/mit den Gender StudiesChancen und Herausforderungen digitaler Wissenschaftskommunikation für die Gender StudiesGender- und Diversity-ZertifikateGender-StudiengängeGender-Lehre in der Weiterbildung und an FachhochschulenGleichstellungspolitik und Gender Studies an Kunsthochschulen und -universitätenHerausforderungen und Strategien zur Inklusion von Gender in MINTOpen ScienceRegionale und nationale Netzwerke der Gender StudiesMedien und Gender StudiesVerbote geschlechtergerechter SpracheZudem bieten sich folgende Themen für einen weiteren Austausch an:Ressourcen für Zentren und Forschung: Strategien für die Gender StudiesWissenstransfer der Gender Studies: Ansätze, Erfahrungen, außeruniversitäre PraxisfelderGender und Diversität: Konzepte, Positionen, PolitikenWir freuen uns über Einreichungen bis zum 31. Januar 2026 an die Sprecher*innen mit folgenden Angaben: Thema/Titel AG bzw. Plenumsthemenvorschlag Verantwortliche Person(en) und Mitwirkende Kurzbeschreibung (maximal eine Seite) Wir freuen uns auf eine rege und vielseitige Beteiligung an der kommenden Arbeitstagung!
- Scadenza: 31 gennaio 2026 Issues of mediatization, in particular (media) visibility and its consequences, are formative for a broad range of discourses surrounding trans experiences. While increased (affirmative) media representation of trans people became associated with potential political agency in the mid-2010s – famously coined in the US as the Transgender Tipping Point –, in 2025, these discourses are dominated by questions of violence through and in media exposure. With the rise of authoritarian forces, discriminatory policies against trans, inter, and gender-nonconforming people do not only continue, but also make them the central target of a demonizing and reactionary rhetoric, and of repressive politics against bodily and gender self-determination. This escalation can be understood as an extension of violence. BIPoC trans people, for example, have long been and continue to be exposed to severe gendered and racialized violence and discrimination. In queer and trans of color critique, various approaches have been analyzing these conditions for years, particularly with regard to the ambivalent relation of invisibility, hypervisibility, and vulnerability.Trans Media Studies refers to the eponymous research field that is slowly becoming more established in the Anglophone world. It deals with the contemporary as well as historical political and media conditions of gender(ing), transitions within and beyond the binary gender system, and its transgression. The interdisciplinary field of trans studies with its critical approaches to historical, theoretical, and epistemological questions serves as the central point of reference. Taking shared areas of interest and inquiry into account, like the critique and analysis of subjectivation, gendering, normativity, the constitution of bodies and selves, this issue also relates to neighboring disciplines such as gender and queer studies, critical intersex studies, and inter* studies.Besides questioning and re-evaluating German(-speaking) media studies through the lens of trans studies, this issue aspires to expand trans media studies beyond the US context. Therefore, contributors are invited to re-examine established media theoretical discourses. The field of gender media studies, which investigates the interdependence of gender and media, offers promising possibilities for further research. In addition, trans media studies might be able to tackle questions of trans- and intermediality from a new perspective: Which (binary) concepts structure notions of distinct media, their boundaries, transitions, and their theorization? What does this mean for our understanding of hardware and software, backup and update? To what extent does a concept of transition that is rooted in (trans) gendered experience potentially enable the politicization of media-technical contexts?While working towards further establishing trans media studies, it is also essential to consider questions of situating and decolonizing and to involve researchers and trans experiences/historiographies beyond the Global North. Overall, the issue follows the mutually productive resonances of trans and media studies to investigate the specific material-discursive, medial, and technological constellations that shape – and are in turn shaped by – trans experiences, gendered life, and desire. A project of particular political and epistemological urgency.In addition to bringing together media studies research on transness and the opening of trans studies for media studies, this issue explores how both fields can challenge each other with mutual questions and demands.The ZfM (Journal of Media Studies) is one of the largest peer-reviewed academic publications for media studies in German-speaking countries. Financed by the Gesellschaft für Medienwissenschaften (Society for Media Studies) whose more than 1,500 members receive the journal as a printed copy, the bi-annual publication is also made freely available to the public under an open access (OA) licence. Whilst the ZfM aims to promote diverse perspectives from a global academic community and welcomes international submissions, it also maintains German as its main language, which is why all articles that have successfully passed the peer-review process will be translated into German before publication.
- Scadenza: 31 gennaio 2026 "Connected Across Borders: Swiss Women’s Movements and their Transnational Entanglements"Conference by the Gosteli Archive, History of women’s movements in Switzerland, in cooperation with the Swiss Social Archives 4–5 June 2026, University of ZurichFeminist movements in Switzerland have never been purely national phenomena. From the outset, struggles for rights, education, and labour were influenced by and connected to transnational debates. Swiss activists took part in international conferences, founded organisations that operated across borders, and aligned themselves with feminist struggles in other regions. These processes involved not only the reception of transnational knowledge, but also the active contribution of original impulses to international discourses and the sustained exchange of experiences, ideas, and strategies.We invite scholars – especially early-career researchers – as well as activists to explore in greater depth the entanglements, processes of translation, and tensions between Swiss women’s movements and transnational feminisms. We welcome contributions that examine both historical and contemporary aspects, highlighting the role of actors, networks, ideas, and places. We are interested in how Switzerland served both as a space of resonance and a point of departure for feminist transformations – and how feminist concerns were situated within global contexts. The aim is to make the transnational dimensions of feminist histories and presents in the Swiss context more visible and to reflect on them critically.We welcome proposals from the fields of history, social and cultural studies, law, and related disciplines. Contributions from artistic or activist perspectives are also expressly encouraged.Suggested TopicsNetworks, Circulations, and TranslationsIssues – Struggles – BiographiesSolidarity, Critique, IntersectionalitySites of Transnational FeminismSubmission GuidelinesPlease submit an abstract (max. 300 words) and a short biography (max. 150 words). Abstracts may be submitted in German, French, or English. Submission deadline: 31 January 2026. Please send proposals to: fabienne.amlinger@gosteli-archiv.ch
- Scadenza: 01 febbraio 2026 Following the Beyond Borders meeting series hosted by the WGSS Department at the University of South Florida, we warmly invite submissions for a special issue of The Archive Revisited Gazette celebrating Chukchee poet Antonina Kymytval’ and her brief but profoundly resonant encounter with Audre Lorde during the 1976 Afro-Asian Writers Conference in Tashkent.Lorde’s essay “Notes from a Trip to Russia” (Sister Outsider, 1984) and her poem “Political Relations” (Our Dead Behind Us, 1986) offer the only detailed accounts of this meeting, providing a rich starting point for reflection, creative engagement, and critical exploration.This special issue invites contributors to explore the intertwined legacies of Black and Indigenous feminist Internationalism, shining a light on the intimate and often overlooked connections that transcend Cold War boundaries. At its heart, the issue celebrates Kymytval’s poetics, Indigenous resilience, and the bold, affective solidarities she shared with Audre Lorde—what Lorde evocatively described as “making love…through our interpreters.”We invite contributions that illuminate or respond to:Antonina Kymytval’s poetry, especially its reflections on land, loss, survival, and relationalityKymytval’s role in Soviet Indigenous literary history and the tensions she navigated within Soviet assimilationist policiesThe erotic, intimate, and political dimensions of Lorde and Kymytval’s encounter, including the constraints of language, Cold War politics, and the briefness of their meetingHow Lorde’s and Kymytval’s relationship invites us to rethink dominant East/West geopolitical frameworksTransnational feminist solidarities across racialized and colonized spacesIndigenous and Black poetic traditions as living archives of InternationalismArchival traces of Kymytval’ and the exciting possibilities for re-engaging with and re-reading her work todayWe welcome a wide range of formats and voices, including (but not limited to):Short critical essays or reflections (500–1,200 words)Reflections on Kymytval’s poetry (poetic, visual, etc.)Interviews with scholars, translators, or Indigenous artistsAnnotated lesson plans or syllabi featuring Kymytval’ or LordeCreative work: poetry, hybrid or speculative writing, visual artArchival vignettes or storiesThis issue invites contributors to re-read Kymytval’ and reflect on what solidarity and sensuality mean across geographies, historical silences, and artistic forms.Submission deadline for proposals or submissions: February 1, 2026. Send proposals or complete submissions to: shchurkot@usf.edu
- Scadenza: 01 febbraio 2026 PrésentationLe groupe de recherche Cultures et images lesbiennes organise un colloque portant sur la place du collectif dans les représentations et pratiques au sein des cultures visuelles lesbiennes. Organisé sur deux jours, les 12 et 13 mai 2026 à Césure, il s’agira de donner la parole à des chercheur·euses dont les travaux portent sur les questions lesbiennes et contribuent à l’écriture d’une histoire sociale et féministe de l’art.CIL est un groupe de recherche en études visuelles lesbiennes, créé en novembre 2024 dans l’objectif de rassembler et fédérer la recherche sur ces questions. Une première journée d’étude a été organisée en 2025 et visait à mettre en lumière un champ scientifique encore peu visible dans le monde universitaire francophone. Entre-temps, CIL a créé un annuaire des chercheur·euses dont les travaux entrent en résonance avec ces dynamiques. Ce colloque sera le deuxième événement public de CIL.
- Scadenza: 03 febbraio 2026 Appareil physique et symbolique caractérisant l’être humain (Le Breton, 2008), le corps est soumis à des normes et injonctions permanentes qui déterminent sa légitimité. Ces normes variables selon des catégories telles que le genre, la classe, la race1, la sexualité ou encore l’âge, construisent un idéal corporel fondé sur l’accumulation de critères multiples, auxquels le corps est censé se conformer. Historiquement ancrée, cette codification du corps s’est s’accompagnée de processus de stigmatisation et de domination engendrés par les imaginaires impérialistes et postcoloniaux (Tonda, 2015), et les systèmes de classements sociaux (Bourdieu, 1979) ont contribué à construire des corps socialement différenciés et à établir une hiérarchie de légitimité entre eux. Dès lors, le corps est devenu un enjeu central dans la reproduction des rapports de pouvoir et des inégalités sociales. Ce faisant, les corps les plus hégémoniques – à la manière des corps blancs, minces, valides, présumés hétérosexuels ou cisgenres vus comme standards (Carof, 2021) dans les sociétés occidentales contemporaines – peuvent être pensés comme majorés, car gratifiés d’une valeur ajoutée qui contribue à les situer socialement et à façonner positivement les discours et les regards qui sont portés sur eux. Au contraire, les corps auxquels nous nous intéresserons ici, minorés2 car privés des fonctions, attributs, traits ou formes qui caractérisent les corps dominants ou prétendus « normaux » par la société, sont éloignés de ces standards. De fait, toute marque corporelle de différence, qu’elle soit ostensiblement visible ou qu’elle fasse l’objet d’une tentative de dissimulation, est souvent perçue comme une déviance ; cela pu être observé dans le cas de certaines orientations sexuelles ou identifications de genre (Macé, 2010). Cette différence opère comme un stigmate au sens goffmanien du terme (Goffman, 1975)3, engendrant des processus de discrimination, voire de pathologisation à l’encontre des corps handicapés, trans, gros, maigres, malades ou racisés. Cette stigmatisation se traduit par des difficultés à exposer ces corps dans l’espace public et à les y faire pleinement accepter (Héas et Dargère, 2014), le risque de sanctions sociales y étant plus élevé. En témoignent les cas de personnes médicalement désignées comme obèses ou en surpoids (Burford et Orchard, 2014), ou encore de femmes homosexuelles (Nicaise, 2017). Toutefois, dans une logique de résistance, le corps peut être exposé selon des stratégies de réappropriation ou de dissimulation, à l’exemple de femmes se définissant comme « gouines »4 et qui, pour échapper au stigmate dans l’espace urbain, surinvestissent des actes de féminité pour être identifiées comme hétérosexuelles et se conformer à la norme dominante (ibid.).Date limite de réception des propositions : 3 février 2026Retour des décisions aux auteur·ices des propositions : 24 mars 2026Dossier coordonné parHélène Bourdeloie (LabSIC, Université Sorbonne Paris Nord)Yann Bruna (Sophiapol, Université Paris-Nanterre)Dimitra Laurence Larochelle (Irméccen, Université Sorbonne Nouvelle)Parution en 2027
- Scadenza: 15 febbraio 2026 La revue POUR lance un appel à article pour un numéro interdisciplinaire portant sur les dynamiques genrées du travail agricole à paraitre en fin d’année 2026. Ce numéro sera coordonné par Caroline Albinet, Caroline Bouchier, Candice Grelaud et Marie Tellier.Les études en sciences humaines et sociales portant sur les dimensions genrées du travail agricole ont souvent fait état d’une structure binaire et essentialisante de la répartition du travail entre hommes et femmes au sein des exploitations agricoles : aux hommes les travaux les plus physiques, aux femmes, les travaux de soin du bétail et les plus compatibles avec une soi-disant nature féminine considérée comme plus délicate. Pourtant, cette vision irénique selon laquelle chaque sexe serait à sa juste place ne permet pas de rendre compte de la réalité des expériences vécues par hommes et femmes dans le travail agricole. De plus, la naturalisation du travail féminin contribue à son invisibilisation. Force est de constater que le travail agricole, y compris et surtout lorsqu’il est effectué en famille, n’est pas exempt de conflits, de tensions et de rapports de domination. De plus, les frontières genrées du travail agricole ne sont ni stables ni naturelles, et peuvent être amenées à se brouiller à certaines étapes du cycle de vie des individus (notamment en cas de deuil ou de migration) ou en raison d’évènements extérieurs, comme les conflits armés.Ce dossier d'articles vise donc à interroger, dans une approche pluridisciplinaire, les grandes dynamiques du travail agricole au prisme du genre en entendant cette approche dans toute sa dimension critique, c’est-à-dire comme élément constitutif des rapports sociaux et qui à ce titre joue un rôle majeur dans la constitution des rapports de pouvoir associés à la différenciation des sexes. Les articles s’interrogeant sur le travail au sein des exploitations familiales en fonction non seulement du genre, mais aussi de la place dans les familles, des âges de la vie et du statut social et professionnel sont particulièrement encouragés. Nous accorderons une place particulière à la question du vieillissement, enjeu transversal à tous nos axes, et à ses impacts autant sur les dynamiques de genre que sur les rapports au travail. Nous souhaitons également interroger l’impact des mutations du travail agricole depuis le XIXe siècle, entre mécanisation, exode rural, évolution des pratiques législatives et de production, sur les représentations genrées du travail agricole et la place des femmes au sein des exploitations et hors de celles-ci.Pour se faire, quatre axes sont proposés pour les articles. Les propositions décentrées du cadre spatial franco-européen, les approches comparées et les propositions transversales, qui permettent de montrer comment ces différents thèmes s’imbriquent et interagissent, sont bien entendu les bienvenues.
- Scadenza: 20 febbraio 2026 The international conference Queer: Present! Visibility Through the Body aims to examine queer visibility in contemporary culture, exploring it across a range of contexts. The title of the conference alone may serve as a catalyst for reflection on various aspects of queer visibility, demonstrating that queer culture is present today in many forms. However, queer people are constantly fighting to remain visible and gain access to more divergent visibility. This visibility often encounters strong resistance; opponents view the queer body as imposing its presence, disrupting social order and manifesting as unnecessary excess or exaggeration.During the conference, we will highlight the physical presence of queer genders, sexualities and romantic relations and intimacies. This is why the title of our conference is provocative: queer is present and embodied; it is expressed in the body.Do queer bodies experience encounters with others and strangers differently when moving within cultural boundaries?Deadline for submission of abstracts is: for panels 20 February 2026 and for individuals presentations 28 February 2026. They should be sent by email to queer@amu.edu.pl (or marjed7@amu.edu.pl)
- Scadenza: 27 febbraio 2026 Plus de dix ans après la proposition du « tournant spatial dans les études de genre », initiée par le colloque ainsi intitulé à l’université Paris Diderot en 2012, la question de l’espace genré demeure marginalisée dans les sciences humaines et sociales. Cette journée d’étude vise à croiser les réflexions sur l’espace genré provenant de plusieurs disciplines ainsi qu’à fédérer les nouvelles visions sur les manières dont l’espace pourrait être construit, représenté et habité au prisme du genre. Elle accueillera particulièrement les recherches intersectionnelles qui éclairent le sujet au croisement des rapports de classe, de race, d’âge, notamment celles ancrées dans les contextes non-occidentaux.ArgumentairePlus de dix ans après la proposition du « tournant spatial dans les études de genre », initiée par le colloque ainsi intitulé à l’Université Paris Diderot en 2012, la question de l’espace genré demeure marginalisée. Dans les bibliographies recommandées pour les études de l’espace, on trouve généralement des noms comme Heidegger (1973), Lefebvre (2000), Tuan (1990) ou Bachelard (1961), tandis que des figures telles que Irigaray (1980 ; 1983), Rose (1993), McDowell (1999) et Massey (2005), qui, dans une perspective féministe, ont pointé l’ignorance des questions du genre dans l’épistémologie de l’espace dominante, sont largement absentes. Cette journée d’étude vise à croiser les réflexions sur l’espace genré provenant de plusieurs disciplines ainsi qu’à fédérer les nouvelles visions sur les manières dont l’espace pourrait être construit, représenté et habité au prisme du genre.Axe 1 : La production de l’espace genréSi l’argument tripartite de Lefebvre (2000) a mis en lumière les manières dont les rapports de domination sont fabriqués à travers la production de l’espace, il n’a guère abordé la question du genre. Pourquoi certains espaces sont-ils habituellement attribués à un sexe particulier ? Et comment deviennent-ils moins accessibles à ceux et celles qui ne correspondent pas à ces normes ? Certaines chercheuses relient ces réflexions aux traditions de la philosophie occidentale, notamment aux binarismes entre corps et pensée, ou entre transcendance et immanence (Beauvoir, 1986 ; Irigaray, 1980 ; Butler, 2018). D’autres examinent ces questions d’une approche phénoménologique (Ahmed, 2009 ; Young, 2017). Dans les pratiques du design et de la gestion de l’espace, l’espace genré peut être produit par « le manque de données genrées » (Perez, 2020). Cet axe s’intéressera ainsi aux manières dont l’espace genré est produit, justifié et maintenu aux échelles tant conceptuelle que sociale.Axe 2 : La représentation genrée de l’espace / la représentation de l’espace genréCet axe sera consacré aux représentations artistiques de l’espace. Il s’agira de réfléchir ensemble sur la manière dont les arts visuels et la littérature se sont saisis de tensions présentes dans d’autres sciences sociales au sujet de l’espace genré. Par exemple, il pourra être question du renouvellement des approches cartographiques féministes, telles qu’elles sont proposées par Zwer (2023), en réponse à des approches plus masculines de l’espace comme le « time-geography » de Hägerstrand (Rose, 1993). Par ailleurs, il conviendra d’interroger la place de la culture visuelle, sous différentes formes – le cinéma, les séries télévisées, la bande dessinée, les jeux vidéo ou encore la réalité virtuelle – dans la construction active de nos perceptions de l’espace. Nous aurons ainsi l’occasion de réfléchir aux processus de création d’espaces genrés au sein de la diégèse, puis de questionner les divergences entre des processus qui se font à l’intérieur même d’espaces genrés pré-existants ou qui se construisent en opposition de ces espaces, à travers l’investissement de nouveaux espaces alternatifs fictifs. Ainsi, il nous sera possible de questionner comment les arts visuels et la littérature créent des espaces genrés qui donnent lieu à des communautés de sens et des imaginaires communs.Les études sur les méthodologies de représentation seront bienvenues tout comme les études de cas prenant appui sur l’analyse d’œuvres artistiques.Axe 3 : Réimaginer l’espace par expérimentationCe troisième axe donnera plus de relief aux recherches-actions et aux recherches-créations qui confrontent l’espace genré en proposant des espaces alternatifs où les minoritaires sous l’angle du genre peuvent réclamer leur subjectivité. Ceux-ci peuvent se présenter sous différentes formes : fictive ou tangible, individuelle ou collective, revendicatrice ou expérimentale, à long terme ou provisoire. Dans quelle mesure un espace alternatif est-il encore envisageable face à une tendance au conservatisme ? Quels sont des apports et des points de vigilance qu’ont amenés ces actions ? Ne se contentant pas d’être attaché à des lieux fixes, un espace alternatif peut se créer à travers la circulation des corps, comme dans le cas du cruising (Muñoz, 2019). Les études sur les espaces alternatifs en mobilité feront donc l’objet d’intérêt spécifique. Dans cette même dynamique, les propositions sous forme d’atelier-formation sont vivement encouragées, offrant l’opportunité de concrétiser les réflexions théoriques. Modalités de contribution Les propositions de communication sont à envoyer avant le 27 février 2026 aux adresses suivantes : danyang.feng@u-bordeaux-montaigne.fr et laila.fatih@u-bordeaux-montaigne.fr (fthlaila@gmail.com)Chaque proposition devra comporter :Un titre ;Un résumé de 500 mots maximum ;Une bibliographie de cinq références maximum ;Une brève notice bio-bibliographique(Le cas échéant) Un document d’illustration visuelle séparé (une page maximum)Notification aux auteur·ices : mi-mars 2026.Cette journée d’étude se tiendra prioritairement en présentiel. Une intervention en distanciel pourra être envisagée à titre exceptionnel.Comité de sélectionLaïla Fatih, doctorante contractuelle (Université Bordeaux Montaigne, Plurielles)Danyang Feng, doctorante (Université Bordeaux Montaigne, ARTES)
- Scadenza: 28 febbraio 2026 11. Konferenz der Österreichischen Gesellschaft für Geschlechterforschung (ÖGGF), 23.–25. September 2026, Universität Innsbruck und Medizinische Universität InnsbruckIn einer Welt, die durch das Aufeinandertreffen multipler ökonomischer, demokratiepolitischer und ökologischer Krisen und durch das Erstarken autokratischer Systeme gekennzeichnet ist und in der Angriffe auf das Leben von Frauen*, trans*, inter* , non-binären und queeren Personen sowie auf feministische, queere und trans* Politiken zunehmen, sind die Gender Studies mehr denn je gefordert, gesellschaftliche Veränderungen zu analysieren sowie alternative Zukunftsszenarien zu entwickeln. Die 11. Konferenz der ÖGGF befasst sich unter dem Titel Gender_Queer Worldings mit den vielfältigen Weisen, wie Welten geschaffen und gestaltet werden. Unter Worlding verstehen wir Formen der Weltgestaltung und -erzeugung und somit die dynamischen Prozesse, durch die Realitäten ins Leben gerufen, aufrechterhalten, angefochten und neu gedacht werden. Welt(en) verstehen wir dabei nicht als gegeben, sondern durch Beziehungen von Macht, Sorge, Gewalt und Widerstand hervorgebracht und auch veränderbar. Im Zentrum der Konferenz stehen die Fragen, wie Welten durch gewaltförmige Strukturen wie Patriarchat, Cis-Heteronormativität, Rassismus, Kolonialismus, Kapitalismus und Ableismus erzeugt und aufrechterhalten werden und wie feministische, crip, queere, trans*, inter* sowie post- und dekoloniale Praktiken, Politiken, Aktivismen und Wissenschaften Räume für denk- und lebbare Utopien und Zukunftsvisionen eröffnen können. Vor dem Hintergrund der aktuellen Transformationsprozesse möchte die Konferenz einen Raum für kritische und kreative Dialoge über die Gegenwart, über bestehende und mögliche Bündnisse sowie über Widerstände und Solidaritäten schaffen. Dabei soll es auch um Reflexionen der Errungenschaften und Grenzen der Gender Studies und Sozialer Bewegungen sowie des Potentials von „unseren“ Theorien, Ansätzen und Praktiken für das Schaffen von gender_queeren Weltentwürfen gehen.Wir laden zu Beiträgen aus einem breiten Spektrum wissenschaftlicher Disziplinen ein und freuen uns über Einreichungen, die eine inter- und transdisziplinäre Perspektive einnehmen. Ausdrücklich erwünscht sind auch aktivistische und künstlerische Zugänge, die die Bedeutung unterschiedlicher Wissensformen stärken. Einreichungen können sich – unter anderem – mit den unten angeführten Themenfelder rund um das Konferenzthema Worlding und die Dimensionen Gewalt, Bündnisse und Zukunftsperspektiven auseinandersetzen. Gender_Queer Studies sollen dabei Gegenstand oder Ausgangspunkt von Beiträgen sein, mit deren Hilfe wir über vergangene, gegenwärtige und zukünftige Formen von Worlding nachdenken wollen.(Onto-)Epistemologien von WorldingSorge, Ökonomie, KörperGesundheit, Wohlbefinden, LebensqualitätNarrative, Darstellungen, ErinnerungenInstitutionen, Räume, TemporalitätenMilitarisierung, Grenzen, ZugehörigkeitArchive, Wissen, Ver_LernenNicht-menschliche WeltenSpracheDie Konferenzsprache ist Deutsch, einzelne Beiträge können jedoch auch auf Englisch gehalten werden.Einreichung von BeiträgenBeiträge können für Einzelvorträge, Panels (bis zu vier Vorträgen) sowie für künstlerische oder interaktive Formate (z. B. Workshops) eingebracht werden. Einzelbeiträge sollten max. 20 Minuten dauern (z. B. wissenschaftliche Vorträge, Spoken-Word-Beiträge, Kurzfilme; diese werden vom Scientific Board thematisch gruppiert). Panels, Workshops und anderer interaktive Formate sollten 90 Minuten umfassen.Folgende Informationen sind anzugeben:Name und Institution der vortragenden Person(en)Titel des BeitragsAbstract/Kurzbeschreibung (Einzelbeiträge: max. 250 Wörter; Panels/Workshops/etc.: max. 500 Wörter)Kurzbiografie (max. 50 Wörter pro Person)Sprache (Deutsch oder Englisch)Optional: Zuordnung zu max. drei thematischen Schwerpunkten der Konferenz (siehe oben)Deadline für die Einreichung von Beiträgen: 28. Februar 2026.Beiträge können auf der Konferenz-Homepage eingereicht werden: https://conferences.uibk.ac.at/e/oeggf
- Scadenza: 01 marzo 2026 La revue Transposition, musique et sciences sociales a le plaisir de vous annoncer son nouvel appel à contributions pour le n°15 intitulé « Dispositifs sonores des mondes queer », coordonné par Jérémy Michot et Sacha Najman.Les propositions (~1500-2500 caractères espaces compris hors bibliographie), devront être soumises avant la date du 1er mars 2026 à l’adresse suivante : transposition.submission@gmail.com. Les auteur·ices dont les propositions auront été acceptées seront notifié·es avant le 15 mars 2026.Les articles seront à produire pour le 1er octobre 2026.
- Scadenza: 01 marzo 2026 Call for Papers: 15th Meeting of the Transnational Working Group for the Study of Gender and Sport “20 Years of Gender in Sport – Progresses and Backlashes”Since the inception of the Transnational Working Group for the Study of Gender and Sport in 2005, much has changed in the field of gender and sports, both in research and in practice. On the one hand, there has been an increase in research focusing on gender discrimination in sport, including research on the situation of trans and non-binary athletes. And while discriminatory and misogynistic debates about strong women in sport persist, as seen in discussions surrounding the boxer Imane Khelif at the 2024 Olympics, we are also witnessing a growing wave of international solidarity among female athletes like her in addition to critical public discourse around restrictions on femininity in sport. Even in traditionally androcentric fields, such as sports medicine and exercise science, there are encouraging signs of change. Research and public debates are increasingly addressing issues such as menstruation and pregnancy in sport, challenging long-standing gender biases. At the same time, global political trends, reflect a resurgence of a strong movement towards a new cultivation of hegemonic masculinity and queerphobia, which inevitably affect the field of gender and sport.Twenty years after the founding of the Transnational Working Group for the Study of Gender and Sport, we invite reflection and discussion around the following questions:What his(or her-)stories of gender in sport can be observed?What historical breakthroughs and victories for gender equality in sport have occurred, and what continuities or backlashes remain?What insights can an intersectional perspective offer on gender within sport practices and sports policies?What are the future directions for research and practice concerning gender equality in sports?Abstract Submission GuidelinesAuthors should submit their abstracts in English.Authors are required to submit their abstract via mail to: genderandsport2026@uni-goettingen.de.The deadline for submission is 01.03.2026.Abstracts should not exceed 250 words.Contributions can be conceptual/theoretical, empirical, or methodological in nature or they can present projects or policies that engage with gendered issues in sport.Apart from empirically oriented presentations, we encourage the submission of conceptual and theoretical works.Abstracts will be reviewed by the members of the conference’s local organizing committee.Presenting authors need to register for and attend the congress.All authors agree that their abstracts will be published in the book of abstracts online.
- Scadenza: 17 marzo 2026 Depuis le travail d’Isabelle Baszanger sur la constitution de la douleur comme spécialité médicale (Baszanger, 1995), peu d’enquêtes sociologiques en France ont pris la douleur comme objet de recherche central. Marquée par la distinction entre corps et esprit, nature et culture (Bendelow et Williams, 1995), la sociologie tend à considérer le biologique, et donc les sensations douloureuses, comme un donné et non comme un produit du social (Bourdieu, 1981 ; Détrez, 2002 ; Fassin et Memmi, 2004). La douleur a ainsi été abordée en pointillé, entre autres, dans les études sur les conditions de travail (Crasset, 2013 ; Avril, 2014 ; Darbus et Legrand, 2021), sur le sport (Wacquant, 2014 ; Oualhaci, 2017) ou encore sur la sexualité (Nicaise, 2023 ; Millepied, 2024).Au sein de la recherche francophone, l'article « Les usages sociaux du corps » de Luc Boltanski, paru en 1971, a posé les bases d'une analyse sociologique des rapports différenciés à la douleur selon les appartenances de classe. D’après Luc Boltanski, la « dureté au mal », autrement dit la faculté à résister et endurer la douleur, serait le propre des cultures somatiques populaires, en lien avec l’usage professionnel du corps dans ces milieux sociaux (Boltanski, 1971). Cependant, son article interroge peu les effets des autres rapports de domination, notamment du genre, sur les expériences de la douleur et a donné lieu à peu de recherches empiriques. L’objectif de cette journée d’étude est donc d’analyser la douleur comme une sensation forgée par le social et faisant l’objet de qualifications, d’appropriations et de pratiques inscrites dans des rapports sociaux de genre. Loin de proposer une définition a priori des douleurs, cette journée d’étude cherche à interroger la frontière mouvante entre douleurs ordinaires et/ou normales et douleurs chroniques et/ou pathologiques (Canguilhem, 1966). Il s’agira de prendre pour objet les douleurs physiques en mettant l’accent sur la corporéité des sensations douloureuses, tout en questionnant les processus de psychologisation de certaines douleurs physiques.En effet, les sensations douloureuses sont prises dans des représentations genrées. Les quelques travaux existants montrent que celles-ci sont renvoyées du côté du féminin car associées à l’accouchement ou encore aux règles (Bendelow, 1993 ; Arnal, 2016). Une prénotion répandue présente ainsi les femmes comme naturellement aptes à supporter de fortes douleurs car leurs corps seraient biologiquement formés dans cette perspective. Ces douleurs font ainsi l’objet d’une naturalisation allant de pair avec la construction historique des corps féminins comme « essentiellement différents et pathologiques » (Salle, 2019 : 182), comparativement aux corps masculins (Charlap, 2015 ; Gardey et Löwy, 2000). Au contraire, les hommes présenteraient un rapport viriliste aux sensations douloureuses : les normes de la masculinité hégémonique s’assortiraient d’une interdiction de manifester de la douleur, physique comme psychologique (Dulong, Guionnet et Neveu, 2019). La douleur est-elle dès lors une sensation « féminine » ?
- Scadenza: 20 marzo 2026 Pendant longtemps, le « SDF » (sans domicile fixe), incarné par un homme blanc, isolé et relativement âgé, a représenté la figure classique de l’exclusion liée au logement et de la « désaffiliation sociale », c’est-à-dire la rupture des liens professionnels et familiaux, qui expose les individus à l’isolement et à la précarité (Castel, 1995). Mais le sans-abrisme n’est que la face visible d’une précarité résidentielle qui prend de nombreuses formes et ne se limite pas à la vie à la rue ou dans des lieux non prévus pour l’habitation. La Fondation pour le logement des défavorisés estime qu’en 2025, un peu plus de 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement, qu’il s’agisse de personnes privées de logement personnel (sans abri et sans domicile, hébergées à l’hôtel, chez des tiers) ou vivant dans des conditions de logement très difficiles (surpeuplement, insalubrité, etc.) (Fondation pour le logement des défavorisés, 2025). Nous entendons par mal-logement un spectre large de situations : absence de logement personnel (personnes sans domicile – dont les sans-abri – ou vivant dans des caravanes, des squats, chez des tiers, etc.), hébergement contraint ou instable, logement indigne ou surpeuplé, menace d’expulsions.Le mal-logement touche aujourd’hui une frange de la population très hétérogène. Depuis le début des années 2000, des personnes étrangères, plus jeunes, plus âgées, des enfants, des femmes sont touchées, transformant les visages de l’exclusion résidentielle (Dietrich-Ragon et Loison, 2024). C’est particulièrement le cas des « familles ». Dans une perspective très hétérocentrée, ce terme est appréhendé (sans être défini explicitement) par les politiques publiques de lutte contre les exclusions liées au logement comme un ensemble de personnes liées entre elles par des liens de filiation, comprenant généralement un ou plusieurs adultes (parents) et leurs enfants.Ce numéro de la Revue des politiques sociales et familiales (RPSF) est structuré en trois axes qui invitent anthropologues, sociologues, historiens, politistes, démographes, ou juristes, en France et à l’étranger, à interroger tout d’abord les catégories d’action publique employées, les indicateurs et les dispositifs mis en oeuvre pour aider les familles à se loger ou à être hébergées. Le premier axe questionne les politiques publiques mises en oeuvre et les dispositifs déployés : quels étaient et quels sont aujourd’hui les différents types de dispositifs qui s’adressent aux « familles » ? Quelles sont celles qui sont ciblées par les politiques publiques et celles qui sont au contraire « oubliées » ? Quelles sont leurs caractéristiques ? Le deuxième axe s’intéresse davantage aux ruptures et aux trajectoires familiales en contexte de mal-logement. Quelles sont les causes et les effets du mal-logement sur les relations familiales ? Enfin, le troisième axe invite à la réflexivité. Comment enquêter auprès de ces familles, sachant que les chercheurs et chercheuses doivent affronter une triple difficulté : celle d’être face à des personnes en grande difficulté socio-économique, de devoir comprendre et rendre compte des relations familiales, souvent empreintes de ruptures et de violences, et d’entrer dans l’intimité des espaces habités par ces familles.Les auteurs et autrices sont invité.es à soumettre un titre d'article, avec son résumé (300 mots env.) et ses mots-clés en indiquant si l’article proposé est un article scientifique ou un article de synthèse, d’étude ou de méthode, ainsi qu’une brève note biographique, pour le 20 mars 2026 à la rédactrice en chef de la revue (rpsf@cnaf.fr) et à l’équipe de coordination du numéro thématique : isabelle.frechon@uvsq.fr, marie.loison-leruste@univ-paris13.fr , vanessa.stettinger@unicaen.fr
- Scadenza: 31 marzo 2026 The journal Economie et Statistique / Economics and Statistics will devote a series of articles to gender inequality.There are no restrictions on topics. Examples of possible topics include:employment, unemployment, entrepreneurship;wages and labour income;working time, working conditions, labor relations, telework;family life and professional life balance, career trajectories;wealth;ageing, retirement, health;educational attainment and field choices;housing, residential mobility.This list is not exhaustive. For each topic, the journal welcomes original contributions as well as reviews of the academic literature. Submissions are expected until the 31st of March 2026. Interested authors are invited to send their manuscripts to the journal’s editorial office: redaction-ecostat@insee.fr. These will be subject to the journal's usual review process. Accepted papers may be published online in advance of their inclusion in an issue, as part of thematic sections.About the format of submissions, see https://www.insee.fr/en/information/2591257#soumettreAccepted articles are published simultaneously in French and English in the digital edition.
- Scadenza: 27 aprile 2026 3rd Interna1onal Conference on (Cyber)bullying (CICY3)After a first edition held in Nancy (University of Lorraine) from December 5 to 7, 2022, followed by a second edition hosted on June 3 and 4, 2024 at Adam Mickiewicz University in Poznań (Poland), the International Conference on (Cyber)bullying (CICY) is preparing its third edition. The conference will take place at Galatasaray University (Istanbul, Turkey) on April 27 and 28, 2026. It continues the scholarly discussions initiated during the previous meetings, which created opportunities to exchange theoretical, methodological, and interdisciplinary perspectives on contemporary forms of bullying, harassment, and cyberviolence. Entitled “(Cyber)bullying: Norms and Resistance in Mediterranean Societies and Beyond,” this edition aims to broaden its geographical scope by emphasizing the specific dynamics of the Mediterranean region, while maintaining its commitment to international and comparative dialogue.As in previous editions, the conference welcomes papers addressing the mechanisms and effects of bullying, harassment, cyberbullying, and online hate speech, as well as the tools used to combat them. Practical and collaborative workshops will also be included in the program in order to foster dialogue between researchers, practitioners, institutional stakeholders, and civil-society organizations involved in preventing digital violence. For the 2026 edition, four thematic areas are proposed, exploring different dimensions of cyberviolence: its forms and dynamics, vulnerabilities linked to life-course trajectories, issues related to terminology and social recognition, and the evaluation of prevention mechanisms and knowledge-transmission practices. Each theme invites critical and comparative analyses of individual, collective, and institutional responses to digital violence, as well as the tools used to understand and counter it.